Tro Bro Leon : la malédiction de Laurent Pichon #cyclisme

Tro Bro Leon : la malédiction de Laurent Pichon #cyclisme



Bien vu le ravi taux, le rendez-vous, vélo du Telegram ravi taux, vous le savez, c'est tous les vendredis à 18h sur le Telegram.fr et sur la chaîne YouTube du Telegram et c'est un numéro spécial trop pour Léon que l'on vous propose aujourd'hui. Il était le héros malheureux de l'épreuve en 2022, souvenez-vous alors qu'il jouait la victoire, Laurent Pichon avait été victime d'une crevaison dans le ribine de la ferme situé à moins de 7 km de l'arrivée à l'anilis. Le coureur de la formation Arkea Samsic a reconnu le parcours de la 39ème édition. Il était accompagné d'Olivier Le Gac, D. Wendkosiu, de Valentin Madois et de Léo Danès et vous allez le voir, tout ne s'est pas passé comme prévu. C'est plus propre que moi de mes ! Et là, c'était le drame ! Alors, Pichon, est-ce qu'il va pouvoir le faire 14 ans après la victoire d'un breton ? Et non, il a obligé de se garer Laurent Pichon ! Ah, crevé, crevé non ? Il a crevé ! Ah bah tiens, voilà ! Encore ! Putain, il a fait ! Mais franchement, il y a un problème ! Il y a un caillou qui me veut du mal ici ! Et il rebouche pas ! Oh, le dessin ! Alors, Laurent, encore une fois ? Ouais, bah.

Le pire, c'est qu'il a commencé par les. J'avance aussi à l'un de l'autre fois ! Même tailloux ! Putain, on essaye de faire un démonage plus rapide que d'un autre fois ! On s'est pas gagné ! Ah, le poste, c'est pareil ! Ah ouais, ouais ! On dit jamais 203, donc il faut que je revienne à la recours, recréer une troisième et après c'est trop bon ! Ouais, voilà ! Le Ribin de la Ferme, donc il y a un secteur très difficile qui commence vraiment à être populaire, c'est un petit peu le carrefour de l'arbre du trou Broléon. Oh, la match ! Oh là, il est dégueulasse quand même ! En vrai, c'est mieux ! Ah ouais ? Il n'a pas les cailloux ? Les places, on les gagne à l'entrée du Ribin. Plus on est loin, plus il y a des espaces qui se font entre les coureurs, si on l'attaque trop loin, bah à la fin, peut-être les 10 mètres qu'on avait à l'entrée, ça se transforme en pas 100 mètres, mais peut-être 50, et bah tous ces efforts-là, tous ces trous, il faut les boucher et à la fin, ça pèse dans les câbles. C'est dingue ça, hein ! Incroyable ! Là, je vois une pouce, hein, je vais. J'ai rien à faire là ! On a pu faire la matinée avec les collègues qui seront pour certains adversaires ce jour-là. On est actuellement sur le Ribin de la Pointe Saint-Matieu, qui est nouveau pour cette édition 2023.

C'est un secteur bien empiré, mais qui a beaucoup de ventes. Donc Ribin de la Pointe Saint-Matieu, bah vraiment très très caillouteux. Donc un Ribin qui tape beaucoup. Donc beaucoup de pierres qui accroissent les crevaisons, pardon. La boue ! On Ribin le long et difficile. Là, ça va, c'est sec, mais on cas de pluie, les pierres peuvent être en plus glissantes. Donc un Ribin qui est dans les premiers loin de l'arrivée, mais au zèle trop gros, il y a des cartouches qu'on doit économiser tout au long de la journée.

Et là, clairement, il y a moyen de l'enfer de l'unité. C'est vraiment important, c'est dans la partie finale, tout l'enchaînement, et voilà, savoir où mettre les roues, comme je dis, et économiser un maximum de cartouches pour arriver le plus frais possible. Quand on voit la largeur d'un Ribin, si on le prend à mauvaise position, c'est des coups d'élastique, comme on dit. Donc voilà, limiter ces coups d'élastique, garder un maximum d'énergie. C'est le placement. Comme je dis, une part de la chance. Maintenant, on a aussi du matériel qui est très bon, mais qui a le droit de crever.

Donc ça fait partie du trop gros léon, tout simplement. C'est l'homme à tout faire du trop gros léon. Jean-Paul Meloëtte est le créateur de l'épreuve qui sort des sentiers battus. Et c'est également lui qui décide les affiches. Il nous dévoile ses secrets de fabrication. Regardez. Jean-Paul Meloëtte est créateur et créateur du trop gros léon depuis 1984.

Je créé le film du trop gros léon depuis le début. Au début, c'était plus simple. On prenait des photos qu'on mettait en place nous-mêmes. J'ai fait en dessin que je suis rendu compte que les illustrations vieillissent beaucoup mieux qu'une photo. Parce que là, aussi bien l'image, on peut mettre l'expression, on peut changer les couleurs. Donc, c'est tellement différent. Je trouvais ça que depuis, je crois, c'était 2003 ou 2004, j'ai commencé à faire des affiches en dessin.

Oui, je me rends compte depuis quelques années que les gens attendent le visual de l'affiche. Ils traitent mon retour sur Twitter, voilà, et Facebook. C'est là qu'on diffuse. Après, les gens qui veulent les acheter également. Donc, ça fonctionne dès qu'on a soir. Pour faire affiche, je m'inspire d'une photo que je reçois après l'épreuve. Donc là, je fais en gros, bon, là, c'est ce que j'avais cette année.

De là, comme il faut toujours, ajouter un porcelet, je charge mes archives. Donc, je vais retrouver celle de Descartes qui est adaptée de quelques années. Donc, j'ai adapté au guidon, au bras de Laurent Pichon. Ensuite, dans l'approche de près du final, je fais un petit montage comme ça où je montre à peu près à quoi ça peut ressembler. Enfin, un rough en dessin, avec le disque pour s'en affiche au final. On fait le mien-couleur au lait, ce qui sort. Et pour faire ensuite la fiche finale avec la pub dessus, donc de la fiche 2023, voilà comment je fonctionne pour mes affiches.

Pour le dessin, j'en ai pour la journée, minimum. On prend quand même tout de bien faire. Il n'y a pas de journée de boulot à peu près pour mettre ça en. Ça ressemble bien, moi. Quand je l'ai fait, c'est simple. Je m'installe, je mets une table, pour être plus à l'aise. Je mets la musique, je viens, un style estum, les nômes, les vitales, ceci est construit en fond et puis je dessine après.

Mais souvent le soir. Ces affiches sont actuellement liées à l'épreuve. Les gens, au début, c'était le vainqueur que je remettais pour l'année suivante. Enregistration. Maintenant, je change un peu, j'ai voulu. Bon, ensuite, il est arrivé donc du porcelais qui est arrivé sur les affiches. Là, les gens attendent.

Qui va l'avoir ? Le premier, c'était Dan Craven. C'était un coureur d'Afrique du Sud ou ce pays-là. Et il avait dit que dans un magazine, qu'il ne pourrait pas jamais avoir le cochon, parce qu'il n'y a pas breton. Donc, j'ai pris au mot, j'ai mis avec un cochon sur la fiche. Après, c'est vrai qu'actuellement, on met un petit porcelais, parce que bon, c'est sympa par rapport au GIA. Le génétriculteur du canton, qui m'aide un peu là-dessus, qui me protège un peu mes chemins, mes rivinous, où je passe. C'est vite de passer dessus avec le gros engin, gros tracteurs durant cette période.

On soulevait bien, à une époque, le pavé à roubaix. Il dit, t'es un poco, on va pas soulever un porcelais. Donc, il dit, venu de là, c'est tout bête. L'identité pour le graphisme, c'est le couraciclice avec le porcelais dans les mains, ou aux côtés de lui, ou ici. Comme quand la porte avait gagné, il était assis par terre. Après, j'ai fait une fiche, il y a un endroit qui parle au cochon, j'ai dit, qu'est-ce qu'il fait là, ou justement, je compte. C'était la fiche, par rapport au visuel.

Cette année, il a joué au breton, avec le remplition, donc ça symbole tout de suite le côté breton.



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