Guerre en Ukraine : la "roulette russe" sud-africaine • FRANCE 24

Guerre en Ukraine : la "roulette russe" sud-africaine • FRANCE 24



de la guerre en Ukraine. J'accuses qui fait beaucoup réagir dans la presse internationale. Évidemment, finé d'abord, la presse américaine qui titre, vous allez le voir ici, dans le Washington Post, l'Afrique du Sud, a chargé des armes à bord d'un bateau russe. Vous le disiez à l'instant, ça se serait produit en décembre et dernier sur une urbaine de la guerre en Ukraine. C'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est un bateau russe, c'est mon credentials, c'est de la guerre en Ukraine. Définiement, il y a deux forthleges, il y a un satellite placé dans le futur, mais il y a aussi l'aceutique Volus安ien, qui est resté un irgendwas en Ukraine.~! le président du gouvernement sud-africain, au lait russe, donc ce jeu de hasard qui peut s'avérer mortel, dans les faits, et bien ce jeu nous dit le journal, peut conclure, je vais arriver à ouvrir mon.

voilà, excusez-moi, peut conclure sur les sanctions éventuelles du gouvernement américain vis-à-vis du gouvernement sud-africain. Ici, à l'image, on voit le président sud-africain Cyril Ramaphosa interroger par le Parlement local. Il a seulement déclaré une enquête est en cours. Il a regardé de plus près. Fin de citation. Mais pour le quotidien de star, et bien cela ne suffit pas. Regardez, je vous le montre juste ici.

Le président est entré dans une guerre des mots avec les États-Unis, titre le quotidien de star. Pour le citizen, et bien il rappelle que l'ambassadeur américain basé en Afrique du Sud était tout simplement furieux, quant à cette question d'un éventuellement éventuel chargement d'armes sud-africaines sur un bataurus. Je suis prêt, avait-il déclaré, à parier ma vie, que tout est vrai à faire à suivre. – Ça, c'est pour l'Afrique du Sud, dans la presse également, Julien Scheida. Une démission qui fait couler beaucoup d'encre. La presse française qui revient sur la démission du maire d'une petite station balnéaire après l'incendie de son domicile. – Oui, effectivement, son histoire fait là une de quasiment tous les journaux aujourd'hui.

Son visage apparaît aussi beaucoup dans la presse française. Voici Yannick Mores, qui était jusqu'il y a deux jours le maire de Saint-Brévin, une petite commune d'une station balnéaire qui s'appelle Saint-Brévin. C'est situé en Loire-Atlantique. Il a démissionné suite à l'incendie criminelle de son domicile qu'on voit juste ici derrière. Aujourd'hui, Libération dénonce l'abandon de cet élu par la République. Pourquoi ? Parce que cet élu avait averti les autorités de la préfecture locale des menaces qui avaient été proférées à son rencontre par une mouvance extrême droite. Pourquoi ? Parce qu'il soutenait la mise en place d'accueil de réfugiés sur sa commune.

Emmanuel Macron et Elisabeth Borne ont réitéré leur soutien vis-à-vis de cet ancien élu. C'est comme ça qu'il faut désarmer la plée, sauf que nous dit que ce soutien arrive beaucoup trop tard. Il aurait fallu intervenir en amont. Sauf que malheureusement, il s'agit d'après Libération d'une non-assistante, je cite, ici, à un maire en danger. Mise sous pression, le gouvernement tente de réagir, tente de rassurer, nous dit le Parisien. Plus de 2000 plaintes en 2022 ont été déposées pour des violences verbales ou physiques à l'égard des élus. L'exécutif promet de durcir, pour l'instant, les sanctions à l'égard des agresseurs.

– Ça, c'est pour la presse nationale. Que dit Julien, la presse régionale de cette situation ? – Alors, Philomé, je vais vous donner deux exemples. On va d'abord commencer avec le quotidien, qui est le télégramme qui titre sur la réaction des habitants de Sabré Vain, qui se disent sous le choc, le maire était un habitant de la commune depuis 32 ans. Il a non seulement décidé de quitter son mandat, mais aussi de quitter la ville par raison de sécurité, pour des raisons de sécurité, pardon. Même si ses habitants aujourd'hui se disent extrêmement compréhensifs, vis-à-vis de cette décision. Et cette décision est aussi abondamment commentée, à l'autre bout de la France, à 1000 km de là, à Strasbourg, les dernières nouvelles d'Alsace, où le quotidien revient, justement, encore une fois sur ce que je vous disais, la violence vis-à-vis de ces élus vulnérables, le quotidien qui nous rappelle, que depuis les dernières élections municipales de 2020, déjà 1300 élus, mais 300 maires ont quitté leurs fonctions. – Il va maintenant parler tout à autre chose de Pablo Picasso, l'une des plus grandes figures du monde de l'art du XXe siècle.

Il est au coeur d'un débat pour le moins inattendu, à l'occasion Julien, qui, on peut le dire, en un demi-siècle, ses œuvres n'ont fait que prendre énormément de valeur, dit-on, sur le marché de l'armée, sauf que cette poule, aux oeudors, pourrait se gripper. C'est ce que nous dit ici, courrier international, et bien pourquoi, parce que le mouvement Mitu est passé par là. Je vous explique en quelques mots. C'est un article paru dans des économistes, donc dans la presse britannique, qui a mis le feu au poudre. Les experts de l'art s'inquiétaient que des propos, des comportements de Pablo Picasso durant sa vie, durant sa carrière, sont propos concernant les femmes qu'on qualifie d'outrancier, soit mis en lumière. Je vous donne deux exemples. Les femmes sont faites pour souffrir, ou encore un autre, il n'y a que deux types de femmes, d'un côté, les déesses, et de l'autre, les paillettes.

Ce sont forcément ces propos, même si ils sont à post-hériory, en post-mortem, font réagir, et sont, conséquence directe, explique le quotidien britannique, le prix des œuvres du maître espagnol a tout simplement baissé. Pas chuter, évidemment, parle juste d'une baisse de la France, mais ça inquiète. Les investisseurs qui aiment acheter ces œuvres pour les revendre encore plus chers, c'est ce que nous explique le journal espagnol L-Païs. C'est ce que nous explique le journal espagnol L-Païs pour le quotidien, et bien cela a au moins le mérite d'ouvrir l'éternel question. Doit-on distinguer l'homme de l'artiste ? C'est comme la chorale des anciens et des modernes filoméles. Il y a d'un côté les pours et les contre. Ce qui est certain c'est que malgré son statut de peintre génial du 20e siècle, cela montre que personne n'est entouchable même quand on n'a pas un chef d'œuvre comme les demoiselles d'Agnion.

Merci beaucoup, Julien Scheidass était la revue de presse à retrouver sur notre site France24.com.



Afrique du Sud, Guerre, Russie, Ukraine, États-Unis

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