Houssem Aouar jouera pour l'Algérie : Un choix par défaut ?

Ousselaouah, choisir l'équipe nationale d'Algérie. Le joueur de l'Olympique lyonnais a posté une photo sur son compte Instagram avec le maillot des Fénecs pour officialiser sa décision. Il avait honoré une sélection avec l'équipe de France le 7 octobre 2020, lors d'un match amical contre l'Ukraine. Ces origines familiales sont algériennes. Jamel Belmadi peut donc désormais compter sur lui. Le sélectionneur annoncera demain sa liste pour le prochain rassemblement. C'est bien, il a décidé, il joue avec Algérie.

Je vais dire, c'est. C'est sympa. Est-ce qu'on n'a pas où ça va voir ? On l'a en l'interview où ça va voir ? On l'avait où ça va voir ? On l'a perdu ? On y va, on lance. C'est lancé, à où ça va voir ? Toi, Trônet, une fois mon choix de rejoindre l'équipe de France, ça a été. J'ai ressenti tout simplement un regret. Et puis, j'ai senti que, pour ma part, et personnellement, j'avais pas fait le choix qui me convenait à moi. Bien entendu, il y en a qui vont croire que c'est un choix par défaut ou opportuniste, mais si c'était un choix par défaut, j'aurais pu attendre encore jusqu'à 27 ans, 28 ans.

Mais là, pas du tout. C'est tout simplement un choix du coeur. Et comme je l'ai dit, il y a bien longtemps que j'avais ça en tête très longtemps, mais j'avais pas eu l'occasion. Cette sélection représente énormément pour moi, pour ma famille, pour mes parents. Donc, c'est quelque chose de très fort pour moi. -"De cette conversation que je retiendrai à ma foi, l'Algérie pas un choix par défaut, est-ce que vous d'accordes ou pas avec Kussemawa ? C'est le débat du 23-13-Info. Jingle, ne cassez pas les effets de manche que nous préparons depuis des lus, très délu.

J'ai dit, jingle, s'il vous plaît. Je crois qu'on est perdus les droits. Dans le ville-peuple, j'aime pas votre sentiment aimant, mais le ville-peuple, t'es. Elle ne gère pas un choix par défaut. Vous êtes plutôt d'accord, c'est ça, avec Kussemawa ? Je suis pas d'accord. Vous n'êtes pas d'accord ? Allons-y. Tout le monde n'est pas d'accord à ce que la version de Kussemawa.

Tu penses que c'est un choix par défaut ? Oui, mais. Oui, mais ? C'est quoi, la petite nuance ? S'il y a de nuances ? Effectivement, c'est un choix par défaut. Il a une sélection en équipe de France. Contre l'Ukraine, là. Si ça avait été un match officiel, il aurait été contenté à l'équipe de France. Il aurait pas eu le choix de revenir en arrière. On a un set octobre 2020.

C'est un moment qui a une histoire controversée avec le contrarié avec l'équipe de France. Il a été sélectionné en U17, et derrière, il a attendu jusqu'au S.Poir pour revenir. Ça n'a jamais été l'amour fou entre lui et l'équipe de France. Ça n'enlève rien à l'amour qui porte pour l'Algérie. Ton cadre familial a beaucoup poussé pour qu'il aille en Algérie. Ça fait, depuis tout petit, qu'on lui parle de cette sélection, il a un attach tout particulier pour ce pays.

Et là-dessus, je mets très mon mait, parce que je n'aurais pas en cause son honnêteté à ce sujet. Il a un amour pour ce maillot pour l'Algérie, il a regardé beaucoup de matchs, et ça a depuis un long moment. Maintenant. Je suis d'accord, mais j'ai l'algérie, et j'en doute pas un seul instant. Si il avait été retenu en équipe de France pour jouer. . ou l'a conduit au monde, il aurait pas de regret.

Il aurait pas de. Je ne crois pas que c'est sur l'idée qu'il a nourri des regrets d'avoir porté le maillot de l'équipe de France. Quand il dit ça, il sait que de toute façon, il est tricard en équipe de France, que Déchang le trouve trop inconstant. Visiblement, ce n'est pas le seul, parce qu'il est même pas situé dans son club. Il ne reviendra à coup sûr quasiment jamais en équipe de France, à moins qu'il se transforme littéralement. Donc, s'il veut jouer un football de sélection, qu'il aille dans son pays de coeur, et je n'ai pas un seul instant là-dessus de ce que dit Oussemawer. Mais ça reste pour moi professionnellement un choix par défaut.

Il dit la même chose. Il faut savoir cinder les deux partis. Il y a la partie sportive, et sportivement parlant, manifestement, c'est un choix par défaut. L'équipe de France, aujourd'hui, et par rapport à ce qu'il pouvait et se comptait au moment où il était au meilleur de sa forme, pouvait être un objectif légitime qui ne l'est plus aujourd'hui. Sportivement, c'est quand même une forme de petit déclassement. En revanche, son attachement. Et plus globalement, ça me dérange, le fait de parler de choix par défaut quand on parle de l'attachement à la sélection.

Par-dire du moment où tu as des origines diverses, tu peux avoir, même si tu as joué déjà pour une sélection, tu peux tout à fait avoir la binationalité, le fait d'avoir autant d'engagement pour une sélection que pour l'autre. Ça, je ne mets pas du tout en cause le netteur intellectuel. Il avait choisi la France quand même. Il y a un moment, il faut choisir. Je ne sais pas parce que tu as choisi une fois que Advitam et Terminam, une histoire trop. Ce match contre l'Ukraine, c'est pendant le Covid, on voit qu'il n'y a personne. C'est septembre 2020.

Le septembre 2020. Voilà. Il voit bien que depuis, il a dû être appelé, mais il n'a pas joué, et depuis, il vient pu. Moi, je ne veux pas venir sur le terrain des sentiments par rapport à tel ou tel pays. Ça, chacun est libre de ressentir ce qu'il veut. Il n'y a pas de soucis et surtout pas de jugement. Mais par contre, par rapport au choix de la sélection, moi, ça me fait rigoler.

Quand on commence une phrase par dire, pour être honnête, bon, c'est que. Il y a radar. Il y a déjà un radar. Je suis en alerte. Et ensuite, pour être honnête, je pense que. Il ne peut pas. Il ne peut pas dire.

Je n'ai pas fait de l'équipe de France. Vraiment, sélectionnant de l'équipe de France sur ces choix, en général, vu ma fenêtre, j'ai l'impression qu'il y a le premier choix. C'est souvent l'équipe de France pour les bilancionaux. Et puis après. Moi, je voudrais débattre. Je trouve que c'est humiliant pour l'Algérie de dire que parce qu'il ne peut pas jouer en équipe de France, je vais aller en Algérie. S'il me fait ça au moment où il est au top niveau, c'est lui qui décide et choisir réellement.

Oui. Mais là, il diminue quelque part l'idée qu'on peut avoir cette équipe d'Algérie en disant, je ne suis pas bon pour l'équipe de France. Je parle de mon coeur, de l'envie, mais il ne joue même pas à Lyon. Ce qui est dit en interview, ce ne fait pas 6 mois que l'Algérie essaye de le récupérer, mais ça fait 4 ans que Belle m'a dit. Avant qu'il soit en équipe de France. L'Algérie, il faut de mieux, ça vous agace. Moi, ça m'agace.

Quand on dit ça, ça m'agace. Par rapport à l'Algérie, on ne peut pas dire ça d'une autre sélection. Je vous entends, mais je pense que ça peut grandir en toi d'avoir des attaches. Tu peux dire à tel âge, 20 ans, pourquoi il change, il a vu qu'il n'avait pas de possibilité d'aller plus. D'abord, il a 24 ans, il peut toujours s'améliorer, il peut toujours penser. Après, sur l'Algérie, des choses grandissent en toi. On est des humains, ce que.

Et à un moment donné, il y a peut-être un concours de circonstance, mais il ne faut pas minimiser cet appel quand même. De tous les entraîneurs, le marocain, algérien, ils font des appels de plus en plus tôt parce qu'ils ont une ambition pour leur pays de devenir, il y aura de plus en plus de pays africains sélectionnés pour la Coupe du monde. Donc, aujourd'hui, on intéresse davantage de pays. Il faut un travail d'anticipation, d'appeler. Moi, je veux croire quand même. Alors, je vous entends, mais je veux croire quand même que ce gamin y va, parce qu'il y a aussi un change de sportif. Il pense avec l'Algérie, comme avec le Maroc, un jour, l'Algérie.

L'Algérie a fait tromper en 2014 l'Allemagne en quart de finale de Coupe du monde. C'est de la meilleure. Et bien, ils ne sont peut-être pas. Le petit Bonanis, qui est à Nice, qui a 18 ou 19 ans. Il a choisi l'Algérie. Oui, il a choisi l'Algérie. Il l'a choisi à 18 ou 19 ans.

Il n'a pas attendu. Et là, on sent que c'est un vrai choix. Attends, il y a des bons mariages tardifs. Comme et moi, je vois que les entraîneurs montent au créneau, défendent leur nation, décomplexent l'Afrique. Aujourd'hui, le Maroc, l'Algérie, c'est un autre discours. Ça ne va rien voir. Il donne une ambition à l'Afrique.

C'est en train d'obliguer un autre. Éric, la tournée du patron pour finir. Moi, j'avais plaidé pour une autre réglementation. Tous les pays où il y a des binatiaux qui forment leurs joueurs, et les clubs, et les pays qui forment leurs joueurs, devraient pouvoir avoir la priorité jusqu'à 22 ou 23 ans. Tu mets un âge à la fin des espoirs. S'il n'a pas été pris, il a le droit d'aller dans sa sélection tranquillement, mais pas l'inverse. Je suis moins cul de part.

Je pense que ça aurait été bien mieux pour les pays formant. Griezmann, qui a été formé en Espagne. Il avait le droit de choisir. L'Espagne aurait dû avoir la priorité. Il aurait eu la priorité. C'est le pays qui l'a formé. Je ne suis pas d'accord.

Tu sais très bien que certains clubs peuvent faire venir des joueurs plus facilement. En marrant, t'as pas le droit de les fermer.

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