Le résumé de la course - Cyclisme - Drôme Classic
Je vous propose d'écouter Christophe Ribon qui se trouve juste derrière sur ces conditions justement de course actuellement pour les découvreurs en plein mistral. Christophe Ribon c'est à vous? C'est très impressionnant, c'est vraiment très impressionnant et vous le voyez à l'image j'amène énormément de vent moi je suis dans le deuxième groupe derrière donc dans le groupe Champoussin là et on a vu des coureurs pareil un limite sortir de la route honnêtement c'est extrêmement difficile même pour nous de tenir vraiment bien droit sur la moto donc voilà un moment comme le disait Cyril là c'est une vraie horreur là le le vent c'est clairement très difficile de tenir sans son vélo et Romain il en met une quand? Attention attaque Anthony Pérez à l'instant mais là c'est une cette image dont vous parliez où on discute entre Badioli et Alaphilippe. Très bien joué ils sont trois coureurs à l'avant donc c'est à eux de c'est eux les plus romans depuis tout à l'heure c'est ils vont jouer le surnom. Alors Anthony Pérez est sorti et derrière personne n'a réagi est-ce que ça veut dire qu'on ne peut pas suivre Anthony Pérez ou est-ce que ça veut dire qu'on cible un petit peu les coureurs derrière lesquels on roule les d'autres que l'on laisse partir? Il a mis très clairement une très belle attaque de l'arrière et quand on voit un coureur arriver avec autant d'élan on a tendance à regarder à regarder un peu ses pieds et à pas à pas prendre la roue parce qu'on sait que lui il a beaucoup de beaucoup d'élan beaucoup de vitesse et si on veut sauter dans la roue ça va demander un effort très important. Anthony Pérez il est un petit peu dans son élément avec ce col de la grande émette il attaque au moment où son équipier était en train de se ravitailler son équipier son leader Guillaume Martin mais ça fait tout à fait le jeu bien sûr de Guillaume parce que c'est évidemment aux adversaires de l'équipe que Phyllis désormais de réagir. Anthony Pérez en tête avec 57 secondes d'avance sur le groupe des favoris dans lequel figure Julien Alaphilippe, David Godu et Romain Bardet notamment et puis derrière un groupe un peu le ton de battu qui navigue à 2 minutes 30 environ on va tout de suite retrouver sur la moto l'équipe Christophe Ribelon parce qu'il y a du changement derrière à la poursuite de l'homme de tête. Effectivement on se regarde beaucoup dans ce groupe de compte ça permet à Anthony Pérez de prendre de l'avance on annonce à peu près une minute là mais ce qui est important c'est que David Godu a récupéré un équipier quand un pâché est rentré dans la descente en compagnie de Lucas Erikson aussi qui était avec lui et aussi Simon Clark de l'équipe israël qui est rentré donc trois couarts qui viennent de revenir sur le groupe Julien Alaphilippe.
On est dans la partie finale avec des pentes max à 13% mais moi je sais pas ce que t'en penses Cyril mais là je vois bien Julien placer un démarrage à cet endroit là pour essayer de. Tu l'as senti aussi. Oui je l'as sent venir parce qu'il va essayer de se débarrasser de Guillaume Martin et pour se débarrasser de Guillaume Martin il doit se servir de son punch et là les pentes sont idéales pour lui. Regardez ben non c'est pas Julie finalement qui attaque là bas ce n'est pas l'ancière champion du monde Julien Alaphilippe c'est son équipier qui vient de produire cette accélération et regardez derrière on réagit avec cet avis de Godu alors que. C'est Bardin qui a répondu. Victor l'a fait victime de l'accélération pour Cofidis. Guillaume Martin est un petit peu distancé donc voilà c'était l'objectif de se débarrasser des couarts de Cofidis.
Oui on a vu également en difficulté Clark, Simon Clark. Qui avait roulé tout de suite. Oui qui s'est probablement sacrifié pour Corbin Strong. On récapitule devant ces cinq coureurs nous avons les deux contre-attaquants David Godu qui a réagi sur l'attaque d'Andréa Bacioli mais n'oublions pas l'homme de tête évidemment qui est sorti lui déjà depuis quelques kilomètres dans le col de la grande limite il s'agit d'Antonie Pérez. Et l'écart a baissé pratiquement de 25 secondes. Et voilà ils approchent du mion d'Alex. Ça va être là on va savoir en resommé avec l'écart qui l'aura on va on va commencer à imaginer si c'est possible ou pas pour Antony Pérez.
L'épreuve de vérité pour l'homme de tête qui est sorti à 38 kilomètres de l'arrivée tout à l'heure 38 kilomètres on est à pratiquement 14 kilomètres on le sera en tout cas quand on arrivera dans ce mur dans ce mur d'Alex. On y est c'est parti pour 1 kilomètre à 10% de moyenne. On va voir si il monte plus vite que toi tout à l'heure Pierre. On va surtout voir si il monte aussi vite que Julien la Philippe David Godu et Romain Bardet entre autres lancé à sa poursuite parce que c'est surtout ça retenait quand même cet écart d'une minute 35 au pied donc du mur d'Alex et on verra qu'elle sera l'avance du coureur. Il a pas l'air de coincer. Il a la force. Oui oui.
Là oui Antony c'est la partie la plus dure. Ils ont passé le mur mais là il faut remettre du braquet il faut reprendre de la vitesse et là ça fait très très mal aux gens en plus avec le vent de face. Avec le vent de face. Il n'arrive pas à se relancer mais là il va bientôt plonger. Enfin ça fait une quarante. C'est très bien parti. Alors que Julien est maintenant décroché.
Oui il est avec Corbine Strong à l'arrière de ce groupe Romain Bardet avec quelques mètres d'avance n'a pas pu accompagner sur cet attaque de Bade Jolie et devant on a encore d'autres coureurs qui étaient dans ce groupe. On a Rui Costa. Il est parti. Là on revire sur l'homme de tête. Ils sont un par un sur le sommet du mur. C'est ça a été une course je pense les coureurs ce soir ils vont être très très fatigués. Les hommes derrière n'y croient plus.
Ils tournent maintenant mais ils ne savent pas de plus pour essayer de rentrer. Les visages sont marqués. Il n'y a pas un coureur qui s'amuse dans le groupe de 4. Et Anthony Perez doit commencer à y croire très sérieusement. Quel numéro quand même. Je le répète ma spécialiste des contes la montre. Il adore cette discipline.
Il adore les forces solitaires. Un conte la montre sur un championnat c'est à peu près une heure d'effort. C'est exactement ce qu'il est en train d'effectuer à l'heure actuelle. Sur cette image Christophe Réblanc on a l'impression quand même. Bien sûr il faut se méfier de la perspective qui parfois écrase. On a l'impression qu'ils ne sont pas si loin que ça. Je crois que Cyril est en train de faire un écart.
On a un écart qui nous a appris. J'ai eu la même impression. J'ai l'impression que la caméra qui prend très loin je sais ça écrase. Mais d'un seul coup on s'est dit oh là là. Mais c'était en train de se rapprocher. Effectivement d'ailleurs le chrono le chrono bien confirme que le groupe de chasse est en train de se raccrocher de se rapprocher. Il reste 5 km de 100 plus que la dernière ascension.
Et si c'était pas encore fini ce serait dommage véritablement pour Anthony Perez. Mais c'est aussi la loi de la compétition rien n'est encore fait peut-être. Les écarts sont très faits parce que la vitesse est très lente. Les coureurs ils sont à peine à 30 km heure. Donc 30 km heure une minute ça ne représente pas une distance très importante. Donc voilà c'est pour le groupe de chasse de la voie d'avoir Anthony en visu. C'est un bon point pour lui beaucoup moins.
Il a tourné sur la droite il a de la brille il doit apprécier d'avoir enfin tourné depuis avoir le le vent de face il va arriver au kilomètre une ascension quand même assez dure en deux en deux parties une première partie à on va dire plus un faux plat à 4 5 % un petit replat de 100 mètres. Et après les 400 derniers mètres qui sont quand même assez raide mais il a fait le plus dur. Maintenant le plus dur pour lui c'était ce vent de face maintenant là il sait qu'il a gagné. Il a juste à monter à se monter là haut et pourra savourer cette victoire amplement mérité. Magnifique succès pour Anthony Perez sa quatrième victoire professionnelle après les deux étapes remportées sur le tour du Luxembourg après sa victoire d'étapes également sur le tour des Alpes-Maritimes et du Var il y a trois ans la classique au ArAtlantique l'année dernière et bien cette victoire dans la faune drôme classique d'Antony Perez.
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