Philippe Caverivière face à Carlos Tavares, directeur général de Stellantis
RTL, 7h54, Philippe, notre invité Carlos Tavares, dans un bout petit bruit qui nous entoure et resté pour votre chronique. « Dans ton automobile, tous les deux se ramient. » Oui, quand on reçoit quelqu'un qui vend des taux de automobile, un petit concessionnaire, c'est assez simple pour la musique d'intro. Tu tapes chansons voitures sur YouTube et tu as mis le proposition. En revanche, si un jour on reçoit le patron d'assaut, aviation ou de Boeing, il n'y a que ça. « L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux, les femmes, les femmes, les femmes » C'est pas possible. Certes, c'est entraînant, mais c'est pas très mytho.
Et puis il faut que je soigne mes textes, y'a la place de Pierre Palmaid qui se libère au gros stade, m'a t-on dit. Bonne anniversaire au passage, alors en ruguier. Carlos, bonjour. Vous n'êtes pas un invité typique du vendredi? Non. J'en veux pour preuve la présence de toute la direction de RTL. Beaucoup ont annulé leur golf, prévu à Doville. Le vendredi, normalement pour nous, c'est relâche.
Amandine et Yves arrivent à 7h-2. Amandine approvise quelques questions. François Langlette est en direct de son pyjama. Yves, regarde l'excellente série Tulsaking avec Stallone sur son téléphone. Louis Bonin redonne la météo de la veille en changeant quand même la date. Et moi, je revends des vieilles vannes d'occasion. L'occasion, vous savez ce que c'est? C'est souvent une arnaque.
Le vendredi, on est détente, mais vous êtes ce qu'on appelle un grand patron et du coup votre seule visite nous a obligé à rompre avec une de nos habitudes préférées. Bossez un vendredi. Je ne vous dis pas merci, Carlos. Dans le Figaro, on parle justement de cette saine pression que vous mettez bien, m'acquez-vous. On peut lire François Langlette confirme. Ça venu n'est jamais perçu comme une fête. Il est dur et extrêmement exigeant.
Jean-Rého, les Gauchos, il est PDG, pas chauffeur de salle. C'est pas Patrick Sébastien, c'est pas parce qu'il s'appelle Carlos qu'il doit chanter Papa You. Papa You, Papa You, Papa You, Papa You, les bébés. C'est le plus bon dit, Papa You, les bébés. C'est un petit peu Carlos quand même. En tout cas, on est ravis d'accueillir Carlos Tavares, dont le succès est traduit par une marge à deux chiffres, 13% du chiffre d'affaires. Chacun a eu son cadeau.
Amandine Bégo a eu Brad Pitt récemment en apte. François Langlette voulait un grand patron. Il vous a eu vous. Le seul portugais plus célèbre que Carlos Tavares, c'est Ronaldo. Si vous allez dans la chambre d'un enfant n'importe où dans le monde, il y a un poster de Ronaldo. Si il y a un poster de Carlos Tavares, c'est pas la chambre d'un enfant, c'est celle de François Langlette. Et si il y a un poster d'enfants, c'est la chambre de Jean-Luc Cléves ou Pierre Palma, on ne sait pas.
Et c'est très inquiétant. Mais vous le désiez Yves, ici RTL, on est content de recevoir Carlos, car on ne se cache pas derrière notre petit doigt. On aime les grosses bagnolles, on aime les essences, on aime les diesel. On n'est pas comme chez les Wauquists de France Inter, qui font rouler leur hybride avec du sperme de Rangoudan. Parce que c'est soi-disant plus écolos et c'est pas pratique du tout parce que tu dois t'arrêter en forêt, branler un mal, dirigeant en direction du réservoir. Bref, c'est très galère. Non, finis pas.
Ça n'en finit pas. Mourtons quand Carlos Tavares s'arrive chez Périt. Le groupe est un peu au bord de la faillite. Oui, un peu comme moi quand j'intègre RTL il y a trois ans. Et puis il y a des gens comme ça, des personnalités. Paf, quand ils arrivent c'est la remontada. Vous êtes le PDG d'un groupe qui représente 14 marques et vous avez réussi à rendre des marques comme Peugeot et Citroën.
Si ce n'est sexy, au moins rentable. Vous n'êtes toujours pas l'incarnation de l'amour. Le prochain James Bond ne roulera probablement pas en Citroën. Ça pour l'air d'un mission, bien sûr. On va rester sur la Stade Martin. Carlos Tavares, sur le dix-hères, a compensé tous les salariés de Célandie sans distribuer en 2 milliards d'euros. Combien? 2 milliards.
Alors Carlos, ça tombe bien. J'ai mon CV ici. Il n'est pas foufou. C'est assez sommaire. Mais bon, à partir de 2 milliards, tout le monde écoute. Oui, c'est court. Ça fait des blagues.
Oui, c'est court. Ça résume bien. Mais en revanche, je n'ai jamais eu d'accrochage avec aucune de mes Peugeots, contrairement à Pierre Palmaud. Pierre, qui est en ce moment même et dans le bureau du juge, on écoute en exclut son explication sur l'accident. J'ai pas accroché, j'ai ripé. Parle pas ce que tu connais pas. Mais quel icône, c'est là.
Voilà, si Pierre a juste ripé finalement. Mais revenons à cette distribution de 2 milliards. Et là, j'ai envie de lancer un appel à nos patrons bien aimés Nicolas de Tavernot. Nicolas, mais bon sang, mais inspirez-vous donc des meilleurs, comme Carlos Tavares. Je ne dis pas qu'il faut absolument nous donner 2 milliards. Mais même un milliard, ce serait déjà bien. En tout cas, c'est un beau geste.
C'est pas RTL qui ferait ça. En même temps, comparé à Stélandis, ils réagissent Ravanas partage et les bénéfices de la radio, entre les employés, on aurait chacun de quoi s'acheter un bic. Et même pas le quai de couleur, hein. Oh non non non. Au basique. Après la petite phrase d'Emmanuel Macron sur le diesel, le PDG de Total Patrick Pouyanné a décidé de plafonner le prix de l'essence à 2 euros maximum. J'ai vu le biais, j'ai vu le biais, j'ai vu le biais.
Une annonce, une seule annonce, comme ça, et Patrick qui est devenu le Messie, tout le monde se met à genoux. On dirait qu'il a accompli un miracle. Alors qu'en fait, un euro 99, c'est déjà cher. Faut se rendre compte si quelqu'un te met de force. Cinq quilles de mollet qui dans les fesses et qu'après il t'en retire une. Tu vas pas lui dire, merci, dans mes bras, mon sauveur. Non, tu vas lui dire, est-ce que tu peux récupérer la totalité de ton jeu? S'il te plaît.
Moi je suis plus pétanque. Plus pétanque, bien sûr. Alors très vite, on a tendu un petit mouru pas mouru. Oui oui. C'est notre jeu, c'est la tradition. La règle, il est possible que mon jeu ne soit pas connu partout dans le monde, au Portugal et ailleurs. Alors, la règle, je vous donne un nom de célébrité.
Et vous me dites s'il est mouru ou pas mouru. C'est un spécial Carlos, spécial automobile. On joue tous ensemble. Vous jouez pour une sublime Zara Picasso de collection. Intérieur, je suis une 300 000 km, j'en talue. Néan bleu fourni, c'est pas le cas. Carlos Conson, est-ce qu'il est mouru? Mouru.
Il est mouru, tout à fait 95. Carlos Sotomayor. Pas mouru. Pas mouru, c'était la compagne de Belmondo. Carlos, le terroriste de la chanson. Pas mouru. Mouru, elle est mouru.
Carlos Ghosne. Carlos Ghosne. Il est pas mouru, par contre on n'a plus trop de nouvelles. Jean-Pierre Javouille. Mouru. Mouru. Voilà, pilote automobile, il s'est Jean-Pierre Jacouille.
Il n'existe pas, mais il est pas mouru. Nikiloda. Mouru. Mouru, mouru. Mouru, mouru, tu as fait bonne réponse, Carlos. Michel Mouton. Pas mouru.
Pas mouru, mais méfie toi, c'est bientôt la hyde. Nelson Piquette. Pas mouru. Pas mouru, bravo. Henri Pescarolo. Pas mouru. Pas mouru.
Jacques-X, le pilote, pas l'acteur porno. Pas mouru. Jacques-X. Pas mouru. Jacques-X. Pas mouru. Pas mouru.
Jingle de fin qui a remporté. Je crois que c'est Yves Calvi qui a remporté. Yves Calvi. Yves Calvi. Oh, son câlin. Bravo à vous. Merci à vous.
Merci à vous. On fera un tour sur MC. Ça nous rendait à tout moment sur le site et sur l'application Tel. Merci d'être resté avec nous, Carlos. Merci à vous. Bonne journée. Vous avez permis de passer un bon moment.
Et vous gardez le CV de. Je fais des blagues et laissez en bonne. Merci à Yves Calvi.
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