Philippe Caverivière face à Yannick Alléno

Philippe Caverivière face à Yannick Alléno



Il est 7h57, Philippe Pignanincaleno est bien entendu resté pour votre chronique. Oui, autant vous dire qu'après cette interview poignante, le train du rire peut mettre un certain temps à démarrer. Cherse auditeur, ce matin, le train du rire départ initialement prévu à 7h55. Partira avec un retard estimé entre 5 minutes et 24 heures. Mais vous pouvez toujours vous rendre au regard gourbar pour déguster le croque monsieur à 39€, soit 10 ans, cuisiné, par Thierry Marx. Je n'ai pas fait cette vanne devant Thierry Marx car il fait de la bosque. A Mandine, vous m'aurez décidément tout fait cette saison.

Elle m'a fait des interviews avec des déportés, Ginette Collinca, des veuves, Noémie Silberg, des femmes battues. Ce matin, Yannick Aleno sait que si j'attaque à Mandine pour harcèlement, je prends un million d'euros. Je reverserai en partie à l'association de Sous-Denaut. Je garderai 900 000 pour aller dîner chez Yannick Aleno. On est 9, ça va passer. Ça va passer juste, on le laissera 5€ pour boire. Et je verserai 100 000.

Yannick, bonjour. Vous vous battez pour créer une infraction pénale spécifique pour ces délits routiers de ces meurtriers. Il n'y a pas d'autre mot. Alors je ne sais pas si vous avez suivi l'actu, mais en ce moment, c'est pas simple de faire passer des lois. Ça coince un peu. En revanche, Chimacron et Darmanin sont un peu lents. Attention, car notre invité est assez bien équipé niveau casserole.

Votre interviewe dans le parisien est très émouvante. Un point mané en moins chagréné. Vous avez réuni des intellectuels dans votre association. Le prix Goncourt, 98è écœur Sénal, écrivain François Surou. Pourquoi ? Quand il a fallu s'entourer d'intellectuels, mon nom n'est pas sorti comme une évidence. Qu'est-ce qu'ils ont le plus que moi, Orsena et François Surou ? Ils sont tous les deux académiciens. Vous marquez un point.

On va plutôt parler d'actu. Et après, on reviendra à Antoine Alèsard. Hier, Emmanuel Macron était à Paris et à Lyon pour l'écomparation du 8 mai. Il a décommercé les Champs-Élysées, un saoudien. Il était accompagné de la grande escorte de la Garde républicaine. Paul I a descendu les Champs-Élysées avec une escorte. Ah, mon Louis ! Il a quand même été au contact des Français.

Il a serré la main d'un policier, d'un militaire, d'un CRH. Mais ça s'est bien passé. Quand il salue des flics, ça se passe bien. Alors vous avez vu le secrétaire général de force ouvrière du rôle ? On a affirmé que Jean Moulin n'aurait pas interdit les casseroles. Il faut peut-être qu'il calme la Mme Yermas de force ouvrière. Il parle de Jean Moulin. Il n'est pas tatayé ou le saint Jean-Marc de Panacloch.

Il ne fait pas causer le plus grand résistant français en le tenant sur les genoux avec une main dans Lyon. Pardon ! Puis le président s'est rendu à la prison de Montluc. Montluc, ça ressemble un peu à l'endroit dans lequel Macron a incité les syndicats à glisser les revendications tout fait sens. Bon, une proposition de loi pour rendre obligatoire la bannière européenne sur les méris va être examinée aujourd'hui. Dîtes-moi la joie. Beethoven n'est pas que le nom d'un saint Bernard Rigolo. C'est aussi le nom d'un musicien porté sur l'analyse.

Car il était sourd. Or, Berger Apel ne peut pas avoir l'Europe ponteuse. Facile à dire, ça veut dire qu'il n'a jamais eu des touristes espagnols à côté d'elle au restaurant. Qui sont pénibles les espagnols. Désolé, fraternité européenne. Je me suis déjà fâché avec les portugais. Je laisse les espagnols tranquilles.

Ça continue. Alors Sébastien Locornu, lui, a annoncé que les personnes nociropositives vont pouvoir intégrer les forces armées. À l'époque du service militaire, j'ai été con. J'aurais dû dire que j'avais le sida. J'aurais été réformé méditamment. En plus, ça faisait sang. J'arrivais du club Med.

Et à côté de mon intimité, une barre de métro parisien, c'était un sabon de Marseille. Il y avait plus de champignons sous mon paréau. Qu'en forêt de Fontainebleau, c'est que tous les matins, j'allais prendre les méclamédiens en l'est, pour qu'ils fassent leurs besoins. C'est pas possible. Bon, parlons cuisine si vous voulez bien. La France se situe en troisième position dans le classement des meilleures cuisines du monde, derrière l'Italie et la Chine. La Rchouma, la France seulement en troisième, malgré Yannick Alainot.

Cyrilolignac, Jean-Pierre Courtepaye, Christian Hippopotamus. C'est incomprendable. Alors, c'est que Hippopotamus, c'est le nom du personnage de la prochaine BD de Bruno Le Maire. Tu nous en parlais. Il est porté sur la chose, notre Bruno. Alors, j'ai été très étonné de ce classement, parce que quand tu vois la tête de nos gars en cuisine à Paris, ça devrait être le Pakistan en promes. Salut, on quand même la victoire des Italiens.

Non, ce n'ont pas le mauvais perdant. Comme Yves, qui m'a confié. C'est sûr que l'air étal ou encore triché. Pour finir, vous voulez nous parler de une rencontre la semaine dernière à Marrakech ? À Marrakech. Je vous rassure, je fais une double rencontre jeudi à Marrakech. Je partage avec vous ce matin, parce que ça dit quelque chose. Je discute à la piscine avec Gérard Boyer, qui a un immense chef étoilé.

Il a 80 ans et quelques, et il me parle de Yannick avec admiration. Et là, il y a Sylvain, un vacancier, qui a un conférencier très classe, très chic, qui a toujours son livre à la main, et qui habite beau passage, à côté du burger à l'énos. Et il me dit, le soir du dimanche tragique, il me dit, je rentre de vacances, je n'ai rien, je descends au burger. Et c'est l'un des derniers clients. Et il y a une jeune fille qui arrive, qui lui dit, installez-vous machin, et il lui dit, je suis dans les derniers clients. Dès que je suis le dernier, vous me le dites, et je m'en vais. Elle lui dit, ok, d'accord.

Et au bout de 20 minutes, elle revient, la jeune fille, elle lui dit, je suis désolé, vous m'avez demandé, mais vous êtes le dernier, mais vous pouvez rester. Et Sylvain, qui est très chic, il dit, non, non, non, j'habite au-dessus, donc j'y vais, donc il prend ses affaires, il s'en va, et là, il y a un jeune homme qui arrive, et qui lui dit, c'est adorable ce que vous avez fait, c'est très classe, c'est très élégant, donc je tenais à vous remercier, c'était bien. Et ce jeune homme, c'était Antoine Aléneau. Et en une phrase, ça dit tout de Antoine Aléneau. C'est-à-dire qu'il est venu dire merci aux clients, et il est venu protéger son équipe. Voilà. Donc, long vie à l'association Antoine Aléneau, et c'était fou, qu'il y a quatre jours, on me parle d'Antoine, en ces termes, et ça ne m'étonne pas du tout.

Merci d'être resté avec nous, Yannick Aléneau. Bon travail.



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