« On n’est pas dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale » : incident en commission au Sénat

L'heure est au retrait du projet. Il y a tellement d'autres sujets importants à traiter. Nous insistons, les citoyens regarderont attentivement le vote de chaque parlementaire répondez positivement à leurs attentes. Répondez positivement à leurs attentes. On est là pour échanger et alerter. Vous allez alerter d'achantage. S'il vous plaît, on se calme, on se calme.

On débat. On se calme, on n'est pas dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. S'il vous plaît, on se calme. On se calme. On se calme. On se calme. Et maintenant, la parole est à qui, M.

Bogasse? Oui, merci. Voilà. Il y a eu le petit effet. Je peux. Je vais attendre. Oui, mais écoutez. On est là pour débattre, effectivement.

On reprend le débat. Je partage tout à fait le côté déplacé de la Romain, mais néanmoins, nous continuons le débat. Non. Je veux dire. Moi, je trouve que jeter à la vindic populaire les parlementaires, quelle que soit le choix de leur vote, ne fait pas partie du débat démocratique. Point. Donc.

Mais chacun le verra, chacun pourra le voir, mais ce n'est pas, c'est une forme de menace. Je persiste et signe. Mais néanmoins, nous continuons le débat. Je vous remercie. Mais tout le monde, c'est tout ce que tout le monde vote. Donc, il n'y a pas besoin. Voilà.

Donc, c'est bon. Voilà. Non, Michel Bogasse. Après, moi, comme menace de me couper mon électricité, ou de menacer ma famille, ou de envoyer des mails et des lettres de menace aux parlementaires, c'est moi qui me souviens de me dire aux parlementaires, c'est inadmissible. Voilà. Ce n'est pas le sujet, mais il y en a qui poursuivent dans cette voie, donc je tiens à le dire. Donc, monsieur Bogasse, vous avez la parole.

Voilà. Merci, madame la présidente.

Audition, CGT, Catherine Deroche, Parlementaire, Politique, Public Sénat, Réforme des retraites, Sénat, Thomas Vacheron