En Turquie, rescapés et secouristes espèrent toujours retrouvent des survivants
Ma soeur est Cheydem, Cheydem Şenol uçar, son mari Mohamed uçar, les enfants, Tuna, 6 ans, les twins, Cansu et Göksu, ils sont 3 ans. Ils sont encore là. Cela fait une semaine que depuis sans séismes ont frappé le sud de la Turquie et la Syrie. Les rescapés gardent espoir de retrouver des proches encore en vie. Face au manque de réactivité et de moyens mis en place par les autorités, l'attente se transforme en colère contre le gouvernement. Des membres de la famille sont là. Ils sont allés en face des crânes et ont demandé à des membres de la famille de venir ici.
C'était une décision des opérateurs des crânes. Face à l'ampleur des dégâts, le gouvernement assure qu'il était impossible de prévoir une telle catastrophe mais admet des lacunes dans la prise en charge de la population. Autrefois, ville dynamique et prospère, Antakya, capitale de la province de Hatay, est l'une des zones les plus touchées par les séismes. Sans onyélectricité, les habitants sont livrés à eux-mêmes. Des cas de choléra ont déjà été signalés et des répliques sismiques secouent encore quotidiennement la région. Sous-titrage ST'501.
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