Equipe de France : Giroud ou Kolo Muani, qui pour débuter face aux Pays-Bas ?

Pour le match de vendredi, le premier match des bleus depuis la finale de la Coupe du Monde face au Pays-Bas, vous voulez qui en pointe Colomani ou Giroud, ou si vous avez une autre suggestion, vous attendez là aussi pour la donner au 32-16. Tiens, si je vous pose la question comme ça, vous dites quoi Simon ? Juste avant Nico, parce qu'on a une présentation, ce sujet va aussi être traité dans l'auteur, désolé de lui mettre une balle alors qu'il est parti. Nico Jamin, c'est magnifique, nous a quand même présenté ça en nous disant, on va avoir un éclairage avec. Éon Crochet et Bret Neur pour parler de Giroud et Colomani, j'avais l'impression, en face de moi d'avoir Christian Jean-Pierre, tu sais quand tu avais un mec qui rentre dans l'équipe de France, il dit qu'il va être saison au quotidien, c'est ça qu'il veut te dire. Quand il y a un mec qui rentre et que le mec il a juste 4 ans de l'e-gain à lui, alors lui, attention, il est très très fort. Mais tu ne vas pas me dire que tu regardes tous les matchs de Giroud et que tu tapes tous les matchs de Colomani ? Non. Bon ben Crochet et Bret Neur ils le font.

Oui, mais on s'est compris. Non mais tu verras qu'on explique avec le. On connaît le profil. Et pour Colomani, moi, tu m'en aurais parlé il y a un an, j'aurais eu du mal aujourd'hui, il aurait fallu être persuasif quand même pour. Tu ne croyais pas du tout. . le dire qu'il allait atteindre ce niveau-là, ça c'est sûr.

Oui mais ça même lui-même. Et pourtant, les gars, souvenez-vous avant la Coupe du Monde, Olivier Giroud, on ne connaissait pas trop son statut, remplaçant par remplaçant. On va écouter des déchants qui étaient hier en conf de presse, qui sélectionnaient sur les interrogations qui pouvaient exister quand au statut de remplaçant justement d'Olivier Giroud. La question, l'interrogation avait été levée de ma part. Le fait que je le sélectionne après qu'il a été numéro un à l'occurrence du monde par rapport aux différents événements qui a pu se placer et les blessures de joueurs, ça l'a mené. Mais s'il n'avait pas eu ce rôle-là, je l'avais prévu déjà dans le groupe. Donc il est là comme les 23.

Évidemment, il y en aura 11. Je sais que ça vous intéresse plus que tout de savoir les 11 qui débuteront. Il y en aura 11 trois jours après, les 23 sont susceptibles de pouvoir débuter. Je vais me foutre en l'air. Réveille-toi. Arrête, c'est bon. T'as appris quoi, du son ? Si, il t'explique en gros.

Il y avait une interrogation avant la cour du monde et voilà, tu l'écoutes même plus au fait. Arrête, il nous apprend quoi ? Qu'il y avait Benzema titulaire à la base. Ok, merci. On ne savait pas qu'il est dans le groupe et qu'il va avoir un 11 titulaire. Et que les 11, 13 sont susceptibles de jouer. Puré. Tout ça, 37 secondes pour ça.

Oussemme avant qu'on s'embrouille. Non mais tu sais quoi, toute la confrète d'échéance, c'est un désastre. C'est mon avis. J'ai fait l'interview tout le sport chez nos confrères et tout le sport. J'ai fait presque quotidienne régional. Il a fini en rien. Je te jure, j'ai failli mourir.

Mais je partage, je suis premier degré. Je suis sincère, je partage ton avis. On n'apprend rien. Je ne parle pas du technicien, je n'ai pas la qualité pour critiquer un technicien qui a attendu juste un truc sur Didier Deschamps. Du coup, je l'ai pratiqué en conférence de presse de manière à l'année, du coup, puisque c'était à Marseille. C'est pareil. Et c'était même pire.

Il avait un petit jeu, on était deux, trois à le savoir dans la salle, mais en fait, il y a un pupitre, un immense pupitre en bois. Et des fois, il y avait certaines questions et il a regardé un de nous et il tapait comme ça avec son point sur le bois pour dire, vous voulez de la langue de bois, vous allez en avoir. Et il sortait des trucs. Ah, c'était son truc. C'est bon ça. On savait que là, il y avait ce truc-là. On savait très bien qu'il allait répondre à un truc du genre, ouais, on peut gagner, on peut perdre ou alors on peut faire match au nul.

Enfin voilà, on savait qu'on avait. C'est ce que l'a dit Ousem. J'ai envie de te finir encore. Arrête. J'ai envie que t'écoutes diguer des gens sur Colomoni, qui a aussi des arguments à faire valoir, bien sûr. Certainement sur le plan de la confiance, même s'il en avait beaucoup en lui, déjà avant la Coupe du Monde, il a continué sa progression pour confirmer avec son club. Donc, c'est pas mettre une étiquette de titulaire indiscutable, mais évidemment, il a encore ses factuels plus d'arguments à sa faveur aujourd'hui qu'il n'avait avant la Coupe du Monde.

Ça envoie. Ça envoie. En même temps, ce qu'il dit, c'est vrai. Oh, merci. Voilà, c'est vrai. Oui, c'est vrai. Il a plus d'arguments à faire.

Tu m'équites, face au Pays-Bas. J'ai une préférence pour Colomoni. Pourquoi? Parce que j'aime le profil du joueur, j'aime que ce soit un joueur capable de prendre la profondeur, de venir dans les pieds, de garder le ballon d'eau au but, quelqu'un capable de combiner dans des petits espaces, quelqu'un capable de varier son jeu, de prendre des responsabilités de plus loin, en dehors de la surface. J'aime les courses qu'il fait. J'aime le joueur. Alors, ça enlève en rien, que Oli Collivé Giroud est un joueur exceptionnel, mais je préfère. Et puis, comme on est dans une ambiance où il faut installer une nouvelle génération, je me dis pourquoi pas le faire maintenant.

Romain, il veut quoi, Kilian? Ça va finir, peut-être, comme ça. Et bon, Romain. Bon, dit-il, et après, en. Je pense qu'il préfère Colomoni, depuis quelques temps, déjà, d'ailleurs. Je pense que qui que ce soit. Franchement, il y avait une bonne entente aussi, Giroud, pendant le monde. Rappelez-vous cette communication très.

Moi, c'est surtout ça que je faisais à Lézion. C'est fini, ça. Regardes la couple du monde, c'était pas mal, ce qu'ils faisaient ensemble. Ce qui est bien, c'est que le dernier match de l'équipe de France, Giroud, le démarre, c'est-à-dire le premier match du monde, et il est remplacé par Colomoni, qui fait peut-être sa meilleure prestation, enfin, même sûrement. Donc, du coup, t'as peut-être le passage, et c'est intéressant de voir le match d'après. Moi, faisons abstraction du contexte, disons-nous juste, c'était le dernier match. Du coup, tendance Colomoni, vu que c'est lui qui l'a fini.

Simon. Il faut répondre à l'instant T, donc je vais dire Colomoni. Mais j'ai affronté des joues, des adversaires, dans ce studio, je suis sorti en sang, on s'est fouettés au barbelet. On a fini. Il y a des mecs qui adorent ça, ici. Mais vraiment, on a eu des débats, mais d'une violence extrême, où j'ai défendu Giroud. Les vidéos au place de la République ou à Bastille, c'est rien.

On a eu des débats, on s'est hurlé dessus, et moi, j'ai défendu un mec, Giroud, que j'aimais pas à la base, mais tu m'as posé un genou à terre avec la carrière qu'il a faite, si tu veux, avec qui il a coupé en équipe de France. Et là, à l'instant T, et avec les dynamiques opposées, Giroud, effectivement, il est encore là. Je pense que c'est pour faire le papa, pour équilibrer. Il y a eu des départs importants dans le groupe. Et effectivement, quand tu reprends le discours de Deschan qui disait, moi, j'ai vissé avec lui, qu'il ne serait pas forcément titulaire, et il est OK avec ça. Si c'est pour te dire, il est indiscutable, t'as vu l'Amica de Butan, Coup du Monde, ça, j'achète plus, parce que, effectivement, j'entendais C.Gérôme, qui a dit, si tu te prépares à l'euro, qui est dans 2 ans, il aura 38 ans à l'euro, c'était pour le match.

C'était pour le match. Parce que l'euro, le débat, c'est une nouvelle époque, le 11 qui va mettre, blessé, accepté, il va être réveillé dans un match. Il va être réveillé. Non, non, non, là, pour la prochaine compétition, dans l'équation, on t'auras du Matistelle, c'est quasi sûr, tu auras peut-être du Eli Waï. Là, c'est de la projection trop longaine, les gars. Mais c'est comme ça que ça se passe, le football. Tu ne peux pas aujourd'hui dire à l'euro, il y aura tel joueur.

Je viens de te voir en septembre 2016. Je viens de te voir et je te dis, qui l'anime bâper, il va marquer en finale de Coupe du Monde, tu me mets quoi comme type de balayette ? Non, on n'est pas du tout là-dedans. Tu peux te projeter pour ce match là, et te dire, Jérôme Colomoni, mais le débat avancant entre 2024, il est très loin et il ne sera pas du tout se décider là.

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