Le résumé du Team sprint hommes - Ski de fond - Mondiaux (H)
Exactement avec le premier relais hier qui n'est autre que Francesco Nefaviani et c'est Pellegrino qui refermera ce duo Transalpain. C'est parti donc pour les 15 doublettes alignées sur cette finale parmi lesquelles donc avec le doceur numéro 6, l'équipe de France emmenait donc sur ce premier relais par Renaud G. là que vous retrouvez en 5e position à l'intérieur, juste devant le Suis-Douard. Allez, Pâle-Golbert qui va donner le relais à Ioannès au Splot-Club. Regardez, il est déjà seul au monde à Ioannès au Splot-Club. Il va donner le relais aux avant-postes. C'est bien fait, c'est bien fait.
Vous avez vu Renaud élave les bâtons pour ne pas se faire casser les bâtons parce que là, on a les athlètes qui arrêtent, les autres qui arrivent derrière, ça arrive à grande vitesse. Il faut être bien placé, c'est très important ces passages de relais. C'était très bien fait par les Français. Allez, on va redonner le relais au premier. Donc, relayeur de la doublette, c'est reparti pour Pâle-Golbert pour notre tricolore Renaud G. Attention, ça a arrêté parce que c'est vrai que les garçons partent très fort. Alors là, c'est important de bien rester, ne pas.
Vous voyez, il y a un dégagement de chaque côté de la piste pour ne pas gêner les athlètes qui partent. Donc on reste dans la droite signée, dans la même trajectoire qu'on avait avant et on est passés aux athlètes qui arrivent derrière. Les Américains qui font une grosse course, c'est puis les Canadiens avec Antoine Sear. Attention, alors là, ça doit pas être lui d'ailleurs. Si c'est Antoine Sear, qui est premier relais, qu'ils ont mis en premier relais. Associe à Graham, Richard, ils avaient fait cinquième d'ailleurs au jeu, un Pékin. Donc effectivement, il faut faire attention à eux, ce sont des clients potentiels.
Il y a de la tension, on le sent, bien c'est le course. Derrière en tout cas, sa frotte, sa joue découdre, donc s'ils devant, les trois-quatre équipes de tête se suivent bien. Allez, les premiers relailleurs qui refaire donc leur deuxième passage, le départ de Richard Jouves. Dans l'isquie, une nouvelle fois de Ioannessof Floodclebbe, Pellegrino qui a laissé quelques mètres sur le passage de relais. Effectivement de Fabiani, semblait un petit peu en bout de course, c'est à prendre pour Richard. Et les Canadiens qui sont toujours là? Ils sont là, encore une fois, un top 5, l'un dernier à Pékin. C'est facile, il y a un trou, les Allemands qui ont malheureusement.
En train de craquer. Qu'on fait du mal et derrière il va falloir faire l'effort pour essayer de recoler. C'est lui qui a créé la cassure, il a regardé de la ligne arrêtée. Il a regardé, il a regardé, il y a une 6e position et il va en prendre redescendent gentiment. Et c'est bon pour les Français. C'est bon pour nous, exactement. L'équipe de France qui est en train de prendre évidemment le bon vago.
De toute façon il faut prendre le 6e de la locomotive qui est Yoannes-Ausfaud-Clebeau. Allez c'est beau, c'est beau, c'est un scenario parfait. On est bien, on est bien. L'équipe de France au contact, les États-Unis un petit peu détachés effectivement à 5 secondes. Allez, on y va. Ouais, ouais, ouais. Allez, dernier passage pour les premiers relayeurs.
C'est bien, ils sont en train de faire sauter les Suédois, ça c'est le meilleur, parce que là il y a quoi qu'il arrive. Gentiment une petite médaille qui est en train de se dessiner et ça c'est bon, ça c'est bon Renault. Il faut s'accrocher jusqu'au bout, j'ai l'impression que Paul Gaubert, il n'a encore pas fait un effort, c'est incroyable. Allez, Defa qui est vraiment, qui grimace depuis tout à l'heure, un peu à l'image d'un Maurice Magnifique. On a l'habitude de voir grimacer sur les courses. Généralement quand Maurice grimace, c'est qu'il est en forme, c'est que ça va bien. Là Defa, j'ai l'impression que c'est un petit peu plus compliqué pour lui.
Ce serait bien que ça se détache encore un petit peu. Ouais, c'est en train, quand même progressivement de se détacher, même qu'allez Alpharsod qui pouvait aller dire faire office. L'adversaire numéro 1, qui est encore, j'allais dire, en chasse patate entre les deux, qui fait tous les efforts nécessaires sur les dédansés comètres. Il est en train de céder, Goldberg est vivant. Il faut les chercher, il faut rester au contact, pour qu'il arrive. Ces des maîtres qui sont pris derrière, là c'est les suédois, ça va être dur pour revivre. On l'a vu Edling Hanger qui avait beaucoup de mal à tenir le rythme tout à l'heure, ça va être dur pour lui de revenir.
Même si Calet-Alpharsod fait le gros travail. Bien fait, bien fait, de la part de Paul Goldberg, Bruno qui s'accroche. Il a tenu, il a tenu. Là, tout simplement, vous avez parmi les trois meilleurs sprinters du monde qui vont s'élancer pour se disputer l'avitoire. Ils sont là, avec Juanel Sosfoquebeux, avec Federico Pellegrino et bien sûr Richard Jouves, celui qui a remporté le petit globe de la spécialité. Les trois se sont détachés. Le Gurg me semble-t-il, nous pourrons pas revenir, regardez le trio, et Clébeux qui a pris quelques mètres d'avance quand même, si on le reste de la concurrence.
On sait, dans cette partie-là, il est capable de reprendre encore 4-5 mètres d'avance. Il va en mettre une maintenant, il faut que Richard y trade. Il faut que Richard, pardon, reste dans l'esquipe. C'est en train de coincé, s'il s'embête-t-il? Regardez la fréquence de l'italien. Là, là, là, est-ce qu'il est capable d'aller chercher Juanel Scriven? Il serait énorme de la part de Pellegrino, mais on le dit, on le répète, c'est l'un des meilleurs, c'est le meilleur. Il a gagné le petit globe de la spécialité à de nombreux reprises. Il est pas loin, il est pas loin.
Il est en train de revenir, il faut le dire. Allez, allez, allez, il est en train de revenir dessus, c'est incroyable. C'est énorme. Le obstacle-là, tu parais tout à l'heure pour le coup, Albonne, c'est en train de revenir, il est en train de l'attaquer. Il va essayer de pourger à l'intérieur, il faut qu'il pourgne à l'intérieur, mais Clébeux répond, il répond pour pas le laisser plonger. Il faut faire d'impression, il faut faire sa l'habitude. Surtout pas laisser plonger à l'intérieur, pas prendre le lead à cet endroit-là, par contre pour Richard, c'est plus difficile derrière.
Oui, mais la troisième place semble assurer, s'il n'y a pas de problème matériel pour Richard, l'écart sur la souede, on est en train de aller la chercher la deuxième médaille de bronze dans le clantricolore. Ah, c'est énorme. Là, je pense à Lucas Channin qui va regarder son coéquipier dans le canapé, parce que j'ai parlé par le milieu des meilleurs splonateurs du monde. Lucas aussi en fait partie de ces grands sprits. Si dans le De l'individuel, Lucas, évidemment, 6e de l'individuel, Clébeux par contre qui semble bien parti, pourra les s'envoyer. Une nouvelle médaille d'or, Lucas a été argenté sur le skietto qui a remporté l'individuel, le sprint individuel, et les grinots ne pourra rien faire face à Grimux. Et j'allais dire que c'est plutôt pas mal, parce que les norvigiens ont imprimé le tempo durant l'intégralité, et l'envers va conserver son titre de champion du monde devant l'Italie et l'équipe de France qui va remporter une médaille de bronze.
Ah, c'est beau, c'est la médaille de l'équipe, la première médaille de l'équipe, parce qu'il y en aurait une autre avec le relais. Mais c'est beau ce qu'il est en train de faire. Bravo, mon gars, bravo. Superbe, superbe, et puis quelle revanche. Après sa déception de l'individuel où elle a été sortie en quart de finale, il y avait cette déception pour Richard, et bien l'est effacé. Le Canada qui termine quatrième, c'est le cinquième au jeu quatrième sur ces mondiaux.
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