Serbie : le président annonce un vaste plan de désarmement après deux tueries en moins de 48 heures

Le méchant est arrêté et le méchant ne reverra plus la lumière du jour. Après plusieurs heures de trac, l'auteur présumé de la fusil a été interpellé. Il s'agit du Ross Blasie 21 ans, fils de militaire. Jeudi soir dans la nuit, il a ouvert le feu sur des passants depuis sa voiture, dans trois villages au sud de Belgrade. Ils disent que le jeune les a tués sans raison, qu'il y a une dispute ici au centre du village, qu'il est rentré chez lui, qu'il a pris ses armes et qu'il est revenu pour les tuer. C'est sans précédent, normalement on voit ces choses-là aux États-Unis. Ici même en temps de guerre, il est inouï que quelqu'un tire sur une personne désarmée.

C'est la deuxième tuerie en 48 heures. Mercredi matin, peu après 8h30, Kosta Keshmanovic, 13 ans, entre dans son école avec deux pistolets, trois chargeurs et des cocktails Molotov. Il tue d'abord le gardien qui tende de l'arrêter, puis deux élèves qui se trouvaient sur son chemin, avant de vider son chargeur dans une salle de classe. Six élèves sont abattus, tout défi. Au cours des six prochains mois, nous enverrons 1000 officiers de police supplémentaires pour passer du temps dans les écoles. Selon la police, l'acta méthodiquement était prémédité depuis au moins un mois. L'adolescent avait même écrit sur un papier la liste des élèves qu'il voulait tuer.

Les premiers éléments de l'enquête montrent que Kosta semblait être mise à l'écart par ses camarades. Il était, selon eux, différent. C'était aussi le meilleur de sa classe, voire le meilleur de l'école. C'était avec une arme automatique volée dans le coffre de son père qui l'a commis les réparables. La servie est le deuxième pays au monde où circule le plus d'armes. Nous allons pratiquement désarmer la servie. Et pour le pan et les gales d'armes, les amandes seront si élevées que nous les doublons presque.

Gottons d'acheter à l'hôte. Le choc est immense car ces fusillades sont inédites en servie. Des fusillades d'autant plus inhabituelles qu'elles ont visé des enfants considérés comme sacrés dans le pays.

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