Isabelle Morini-Bosc a adoré la nouvelle série de TF1 "Les Randonneuses"

Isabelle Morini-Bosc a adoré la nouvelle série de TF1 "Les Randonneuses"



RTL matin. On refait la télé, la quotidienne. Absolument. Alors on signale au cinéphile l'affaire Thomas Crohn. Avec le temps d'amstiff, McQueen et Fydeh, bien entendu. Et on n'oublie pas le feuillet de Bardot. Le baiser le plus long du cinéma.

Oui, absolument. Il chignons le plus complet. Vous voulez nous parler de Bardot sur France 2 ? Exactement. Le suite de ce feuilleton écrit par Daniel Christopher Thompson sur les débuts de carrière de Brigitte Bardot. On en a longuement parlé lundi dernier. On retrouve notre bébé enchaînant les tournages et bientôt les hommes. Bardot, face au ministre François Mitterrand, qui autorise son amange en eutrentignage.

Finir son film au lieu d'aller en Algérie. Oui. La productrice Bardot, de Bardot, c'est Christine Goussrénal. Belle soeur de François Mitterrand, ça aide. Bébé dans les bras de Gilbert Beco. Bébé dans le lit de Sacha Distelle. Bébé bientôt amoureuse du jeune premier Jacques Charié.

Bébé heureuse de la madrake qu'elle vient d'acheter. Bébé malheureuse de l'hystérie qu'elle provoque. Est-ce que j'aime ce feuilleton ? Oui, vraiment. Mais globalement. La reconstitution de l'époque, j'adore. Archive incluse, on l'a dit. Je suis fan absolue, divrata dans le rôle du producteur Raoul Léouis.

C'est un génie. Et Dan Lenny dans celui de l'agent Olga Hortig. Je suis déçu. Par le choix des comédiens jouant Beco et sur de Jacques Charié. Franchement très très palichon par rapport au vrai. Idem pour la soeur de Bardot, Mijanou. Affiniment moins intéressante et moins ravissante que la vraie.

Enfin, dommage que Julia des Nounies. Excellente. Marche la tête dans les épaules. C'est-à-dire exactement le contraire de bébé. Mais moi, ça me frappe. Mon extrait, Brigitte Viendoronpre avec un Beco et de Gauss-Enterêt. Elle déjeune avec sa bande.

Parmi lesquelles sont Nix Vadim, le génial Victor Benmondo. Christine Goussrenal et la flanquée de son mari Roger Hannin. Et bientôt, une n° 10e dispute éclate entre Christine Goussrenal et Raoul Léouis. Je suis pas d'accord. C'est quoi ? C'est quoi ? Général, c'est quand même mieux poussé. C'est plus que 40 ans depuis la guerre. Vous allez voir.

C'est lequel est voir quand on aura une dictature en France. Parce que mon bon frère m'a dit, ça date de ce matin. Il tient avec Mitterrand. Il était où, votre beau frère, pendant la guerre ? Non mais moi, j'étais dans la Royaure-Aire-Port. Et lui, il était dans la résistance, connard. Viens, Roger, on s'en va. Brigitte.

Éclu, Christine. Mais non, mais Christine. C'est ta mère, Raoul. Je t'ai amené le scénario de Babette. Elle fait bander les maris, maintenant on le veut séduire les enfants. Et ben oui. Le scénario de Babette s'en va tant guerre.

Oui, bien sûr. La suite sur France 2 ce soir. Il paraît si nouisabelle que vous avez vu un coup de foudre pour la série de défend les randonneuses. C'est merveille. Que j'avais moyennement envie de voir au départ pour être franc. C'est en effet l'histoire de sifflement en remission d'un cancer du sein et partant à l'assaut d'un sommet de près de 4000 mètres dans d'autres régions, à Laurent et à moi. Ça va de Grenoble, à Terminion.

Oui, je vous avais croisé dans le tournage. Voilà. Histoire de prendre de la hauteur par rapport aux malheurs et surtout de répandre à l'arrivée les centres de leur ami de Chimio-Eve, qui était l'iniciatrice du projet Mikaela. Ça a été prise de vitesse par la maladie et qui est donc décédée. La productrice à qui on doit la géniale série, le lycée Toulouse-Lautrec, a réussi là une comédie, une dramédie, comme on dit maintenant, en six fois cinquante de minutes où on rit beaucoup, où on pleure un peu. Bravo aux hommes aussi qu'on cite trop peu. Ils sont géniaux, les deux guils.

Il y en a un qui est obsédé par l'hygiène de vie, il va gérer deux cousins. C'est Jérémy Cré-de-Ville et l'autre dirige les fils. C'est Lucien Jean-Baptiste. Il est solaire mais vite dépassé. Par exemple, quand il découvre, il va l'urne funéraire dans l'un des sacs. C'est quoi ça ? Qu'est-ce que tu fais ? C'est ma sœur. C'est Eve.

C'est celle qui a téléphoné en premier pour organiser l'ascension, c'est ça ? C'est celle qui a eu un empêchement. Elle a eu un empêchement définitif. Vous allez disperser ça dans la montagne, c'est ça ? C'est ça l'intermoins de vie de jeune fille ? Vous pensez qu'il faut une autorisation mesdames, d'accord ? Il a moindre des choses, elles sont hétées de me prévenir. Franchement, si je vous avais prévenu pour l'urne et pour leur cancer, vous auriez accepté de nous emmener avec vous ? Je n'ai pas compris là. Clique. Qui c'est, calme. Attendez, attendez, on se calme, cancer.

Toute une. Ne nous emballons pas. Ils sont en traitement, mais franchement, elles ont l'air super en forme, non ? Non, mais vous ne vous rendez pas compte, même pour des gens bien importants, ça reste une ascension difficile, ok ? Donc, imagine en plus avec votre. Un cancer, un cancer. Voilà. La distribution, elle est patente. Je vous l'ai dit, Côté-Femme, on a Alex Poisson, Alza Longuini, Clair Bourotra, Camille Chamou, Clémentine Sellerier, Prix d'interprétation, etc.

, etc. Et Côté-homme, il y a aussi Jean-Baptiste Caplan et Maxence Danelle Fouvel, qu'on ne connaît pas bien, qui aurait été un excellent Jacques Charié dans Bardeau, lui. Bref, les audience devraient l'aussi grimper, et je termine par marier au premier regard, que je trouve toujours formidable sur M6. Ne loupez pas le coup, les stènes et Maximilien, Maximilien, qui sous la très haute surveillance de son beau-père tout-neuf, vous savez, ils se découvrent quand ils se marient. Prends une décision. Ouais, bien sûr. Le papa des stènes, c'est un papa aimant, qui veut protéger sa fille, et je le comprends tout à fait.

Mais j'ai ressenti aussi un papa qui n'a pas envie de voir sa fille aînée s'en aller, et qui me met en garde. Voilà, à court de son beau-père, lui, pas franchement pas être à la nosse, moi j'adore cette émission. C'est également à 18h40 ce soir que Stéphane Plaza commence la nouvelle quotidienne. Il nous en parle demain, on peut en faire tout un plat, il y a propos de plat, parce l'antenne évidemment, a serré les niaques.



Isabelle Morini-Bosc, On refait la télé





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