Inondations : scènes de chaos en RDC, des milliers de disparus, les secours débordés

Inondations : scènes de chaos en RDC, des milliers de disparus, les secours débordés



On va en parler avec John Molindois. Bonjour et merci de répondre à France 24. Vous êtes journaliste et directeur de la rédaction de la radio de RC-TKA. Si mes informations sont bonnes, vous êtes rendus à quel égale ? C'est l'une des zones les plus sinistrées. Quelle est la situation sur place ? Merci beaucoup. La situation sur place, il reste à souligner que les recherches continuent à se faire. Et puis les bilans, ça leur dit chaque seconde qui passe.

Il y a toujours des morts qui sont dépêchés dans la boue et d'autres dans les lacs du site qui vous. Dans les lacs qui vous. Les bilans faits étaient déjà des 410. Et puis d'autres rescapés dans les parpillés dans les structures médicales. Là, nous citons les centres de santé des bouchouchous, les centres de santé des Namocubi et l'hôpital général des références des calais. Là où il y a des morts qui sont un peu assistés par les autorités locales. Et puis les autorités gouvernementales qui sont venus hier.

Il y avait une délégation des 3 ministres. Est-ce que vous pouvez nous dire ce que vous avez vu, vous en tant que journaliste ? Il y a des témoignages qui font état de victimes emportées jusqu'à la qui vous, des villages aussi qui ont été engloutis par la boue ? Oui, en tant que journaliste, oui. On a été sur le lieu du drame et on continue à y être. Chaque jour qui passe, il y a les bilans qui s'alourent dit toujours. Il y a des personnes qui sont encore enfoncées dans la boue. Il y a des personnes qui sont en très détresse. Rétrouver dans les lacs qui vous aillent du plus précisément l'île.

Les grands îles du Dieu, il y a des personnes qui sont encore en très détresse. Rétrouver des corps, c'est ça. C'est ça qu'on peut préciser. Est-ce que vous pouvez nous raconter le travail des secouristes ? On imagine que ce sont des zones extrêmement difficiles d'accès. Voilà, la route est en tout cas pratiquement coupée. Il n'y a pas vraiment la communication entre. Minova et Bukavu.

Goma et Bukavu, il n'y a pas la communication parce que c'est une route d'intérêt national. Ça s'appelle la route nationale numéro 2. C'est coupé. Donc il n'y a pas la communication entre les troncots là. Mais en fait, les gens se dépêchent pour s'imper. D'artificer ou arrôler. Des deux les gens.

Ce sont les organisations internationales qui font les aides. Là, on peut citer les séifères, communauté internationale de la Croix-Rouge. On peut citer d'autres organisations comme Pame. Ils interviennent. Mais on coisine toujours à dépêcher les morts. Merci beaucoup pour ce témoignage.



Humanitaire, Inondations, RDC

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