Brav-m : un enregistrement dévoile leurs menaces, gifles et intimidation

Ça va être un restaurant ? Oui, c'est un restaurant. T'as pas autre chose à faire ? C'est toi qui pleurais de tout à l'heure ? Ouais, c'est moi. On a tiré. Il a été satélisé. Je sais que t'as une sacré tête à claquer. De tout à l'heure, on est arrivés et t'as bandé vers l'intérieur. On ne vous avait plus de pique d'heure que pour la radio.

Ça, c'est les mecs à 500 mètres dans la rue qui sont dévaux. Il est que t'arriveront plus tard. Jamais tu les verras avec uneissance dans un club. Jamais, il se plaît. Ça fait tellement de chance d'être si là qu'on est à tape. Après les mecs durs, je te péterai les jambes. De l'offense propre.

Je peux dire qu'on en a cassé des coups, des dégueules, des dégâts. Je t'aurais bien péter tes jambes. Les fausses pour sourire. Les fausses pour sourire. Tu vas faire motarder la haine. Tu vas faire motarder la haine. Tu la fermes ou t'as reçu ? Je ne ferme pas.

Tu commences à beigayer. Et surtout, n'hésite pas à dire ça là-bas. Dire ça où ? Là-bas. Là-bas ? Vous allez nous ramener. Le commissariat, je ne vais pas. Il n'y a que toi qui parlera. C'est pour ça que tu fais ça.

Je peux venir dormir avec toi si tu veux. On y va ? C'est le premier qui banque un cul autre. Tu n'as pas de fonds à rester écrits. Tu n'as pas bien pompé. Tu n'as pas été éduqué. Quand je t'attrapais, tu as commencé à trembler. C'est moi qui t'a mis la balayette en premier.

Je peux te dire si tu vas revêlant dans la rue, tu as traversé la rue et que tu es oxy. Moi je suis chaud. Tu n'as pas de fonds à faire. Tu as juste à tartonter dans la rue. Je peux te dire que vous voulez me faire un peu de fonds. Je vais me faire un peu de fonds. Je vais me faire un peu de fonds.

Je vais me faire un peu de fonds dans la rue. Je peux te dire que nous les têtes, on est vachement figiles. Ne t'inquiète pas que la prochaine fois qu'on vient, tu ne montras pas dans le car pour aller au commissariat. Tu vas monter dans un autre truc qu'on appelle ambulance pour aller à l'hôpital. N'inquiète pas. C'est rigole. On va faire rigole.

On a des blagues blocks à longueur de journée. Je peux te dire qu'ils ont des coups quand ils viennent. Ils repartient à l'échelle en mer. Ils ramassent leur vent aussi. Toi tu as de la chance. Tu es un petit peu à boire. C'est pas de bonnes bêtes.

C'est un bon. Tu sais pas, en plus, tu es sur Panam. Tu fais trop de chaud, tu craines, tu vas te chopper. Tu vas rien comprendre. Même si tu veux, je vais te chopper. J'enlève ça. Je m'enlève même ça.

Parce qu'après, tu vas encore dire que j'avais des coups d'hier. Je t'ai mis de la mochette. Incroyable. Ça crainte des phalons, on garde ce soirée. Ça bloque son lycée avec une barrière. Ça fait des doigts à 100 mètres. Et après, ça a suivi.

Ils paront, ils ont raté un gros coup de chaud. C'est comme tous les gars interpellés. Je suis assis, vous pouvez tout rien faire. Ok, les gars, on commence à clasquer. Parce qu'il y a encore du monde sur le château d'eau. La chance, on va juste manger sur toute personne. Si tu as l'occasion d'en regarder la télé, regarde bien.

Bonne journée, tu te rendras ce qui t'entend quand tu reviendras. Merci beaucoup.

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