Attaque d'un convoi de la Monusco : au moins 3 morts dans l'est de la RDC • FRANCE 24
pour l'instant, il est difficile de savoir qui a réellement ouvert le fait sur des civils, même si la société civile charge 100 détours les casques et bleus. Ce qu'on sait, les convois de la Monisco, revenant de la cité de Kiwangya sous contrôle des rébelles de M23, a été stoppée par des habitants qui ont déplacé des canyaroutignas au nord de la ville des Goma. Des habitants qui auparavant avaient barricadé la route avec des grosses pierres ont immobilisé les cortèges avant de dérober les vivres et les conditions enysiennes. Nous n'avons pas confiance en la Monisco. Pour nous, ce sont de mauvaises personnes. 20 ans après, la guerre est toujours là. Ils ne font absolument rien.
Nous souffrons. Nous demandons au gouvernement de les chasser. La Monisco est la force régionale. Nous-mêmes, nous allons nous prendre en charge. Nous avons vu des camions de la Monisco venir et on ne savait pas ce qu'ils transportaient. Nous leur avons demandé d'ouvrir pour vérifier ce qu'ils étaient à l'intérieur. Ils ont refusé, car à chaque fois ils viennent avec ces gros camions, les gens disent que la Monisco transporte les rebelles du M23 et des armes qui n'aident même pas notre armée congolaise.
Voilà pourquoi nous étions fâchés quand ils ont refusé d'ouvrir. Après, nous avons manifesté en mettant des barricades pour qu'ils ne passent pas. Ils ont forcé en tirant des balles. Nous avons été pris de colère et après, nous avons brûlé leur véhicule. La Monisco parle des démords régrétables. Les autorités politiques militaires de la province d'Inorquivou jugent grave cet incident. Pour elles, les civils auraient sans doute été fauchés par des tir des sommations des casques bleus qui de leur part n'ont enregistré aucun mort ni blessé.
Que ce soit la Monisco ou les autorités, le deux partis annoncient d'enquête pour tirer au clair cet incident et qui ont fortement amé les relations entre populations et casques bleus.
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