Tremblements de terre en Turquie: "Après les séismes, la réplique politique?" • FRANCE 24

Avec vous, Hélène Frade. Bonjour, Hélène. Dans la presse internationale de ce lundi, ce bilan toujours provisoire des séismes de la semaine dernière en Turquie et en Syrie, plus de 33 000 personnes ont perdu la vie selon les derniers chiffres officiels. D'après le Nus, ce bilan pourrait encore doubler, dans les jours à venir, des projections catastrophiques que la presse turquienne se garde de relayer, préférant venter la rapidité de la réaction gouvernementale, mais nous nous relevons rapidement, Cléron, ce matin, le quotidien Turquie, avec une photo des installations d'urgence pour les sinistrés, à côté d'un photomontage montrant des enfants miraculeusement retrouvés presque une semaine après l'essaiisme. Ces discours et ces images d'espoir contrastent tranches avec la dévastation exposée ce matin, la une de libération qui reprend les prévisions de l'ONU et évoque le désespoir et la colère grandissant des habitants, comme ici à Adyamand, au sud-est de la Turquie. Ces sinistrés se disent livrés à eux-mêmes. Nous sommes restés seuls face à la catastrophe, avec nos morts dans nos bras, témoignent l'un d'entre eux, une colère grandissante, dont fait également état la croix, autre quotidien français, qui montrent, on le voit, réchèpent Taïp-Hardouane rencontrant des rescapés, c'était samedi, le journal évoque les répliques politiques de ces séismes, dont les effets sur le pouvoir commencent à se faire sentir à 3 mois de la présidentielle.

Après avoir reconnu des lacunes, je le cite dans la gestion de la catastrophe, le président Turc, qui a ensuite rapidement repris ses habitudes, menaçant celles et ceux qui diffusent de fausses nouvelles sur les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter, qui l'a bloqué momentanément. Le séisme est une vitrine de l'incurie de l'Akape, le parti au pouvoir, le parti de réchèpent Taïp-Hardouane, analyse la chercheuse Dorothea Schmidt dans les colonnes du journal. La réplique politique de ce séisme en Turquie, c'est avoir aussi avec ce dessin de Hamad Ramah, publié par le site Cartoon Movement. Ce coup politique également en Israël, Hélène, ou le président Issa Keirzog, somme le gouvernement Netanyahu de modifier sa tréque contestée. On en parlait dans le journal. Réforme judiciaire. La mise en garde du président israélien fait la une du Gère de l'Empos.

Le pays est à la veille d'un effondrement constitutionnel et politique, et ce projet soulève de profondes inquiétudes quant à leur impact négatif potentiel sur les fondements démocratiques de l'Etat hébreu, à prévenir Isaac Herzog, qui partage cette une avec la décision de l'Etat hébreu, de légaliser 9 colonies en six Jordanie, une décision illégale au regard du droit international et qui a été prise en réponse aux attentats de ces dernières semaines. Selon le gouvernement israélien, la réforme judiciaire que celui-ci entend mener ce heurte, néanmoins, à une très forte opposition en Israël, l'opposition qui appelle à une grève générale aujourd'hui, cette opposition serait soutenue par une majorité de l'opinion publique d'après Aretz, qui estime que ce qui rend ces manifestations de ces derniers jours, de ces dernières semaines uniques, c'est qu'elles sont aussi soutenues par les milieux financiers économiques inquiets, des répercussions de la politique du gouvernement, et fait notable Pauline, le président américain, grand taillé d'Israël, a écrit aux New York Times pour faire connaître sa position dans ce débat intérieur, en soulignant que la sagesse de la démocratie américaine et de la démocratie israélienne sont tout de fondées sur des institutions fortes et sur l'indépendance, je le cite, toujours, du système judiciaire. Dans la presse également, ce témoignage rare, Hélène, qui a retenu votre attention ce matin, celui d'une mère de famille ukrainienne, qui a réussi à déjouer les tentatives des autorités russes de séparer sa famille et de faire adopter de force l'un de ses fils à Moscou. Le récit d'Hélène Doudnick rencontré par libération en Suisse, où elle vit avec sa famille, où elle est réfugiée, commence à isoom, dans l'est de l'Ukraine, où elle vivait avec ses 8 enfants. C'est l'axon-fils Andréi, 17 ans tout juste, a été gravement blessé dans un bombardement en avril dernier, avant d'être évacué à Moscou, officiellement pour y être soigné, en réalité, pour y être adopté contre son gré. C'est ce qu'a découvert Hélène lorsqu'elle a réussi à retrouver son garçon à Moscou, avec lequel elle est parvenu à s'enfuir grâce à l'aide d'une ONG et d'un réseau de personnes de confiance. Selon Libé, sans l'obstination d'Hélène, son fils aurait probablement rejoint les rangs, des dizaines de milieux d'enfants ukrainiens transférés vers la Russie pour y rester, selon les autorités ukrainiennes, qui ont pu documenter le sort de près de 16 000 de ses enfants d'origine ukrainienne.

La moitié aurait changé de nom et acquis la citoyenneté russe Libé, qui rappelle que ce transfert forcé d'enfants est l'un des actes constitutifs de génocide, du crime de génocide, tel qu'il a été défini par la Convention de 1948. On se quitte pas là-dessus. Avant de vous dire tout à l'heure, je vous propose de jeter un cile au monde qui revient sur le Super Bowl, la grand-messe du foot américain qui s'est déroulé cette nuit. Le quotidien raconte comment ce rendez-vous sportif est devenu le point d'orgue d'une orgie de dépenses publicitaires dont la somme pourrait être atteinte cette année. 930 millions d'euros, presque 1 milliard d'euros. Une gigantesque machine à cache aux mains de quelques milliards d'aéréquins, dont Robert Walton, l'un des héritiers de la chaîne de supermarché Walmart, qui a racheté les Broncos de Denver pour la modique somme de 4 milliards d'euros. Les États-Unis pays de tous les excènes, Espapolines, y compris dans le domaine vestimentaire, comme en témoigne ces bottes surdimensionnées que ne renirait pas le Grand-Strumf, des bottes en caoutchouc rouge conçues par un collectif d'artistes américains et que vous pouvez acquérir pour la modique somme de 320 euros.

Le modèle, paraît-il, fait fureur, outre-Atlantique. Je vous laisse apprécier le résultat sur le rappeur Lil Wayne avec le short jaune à rayures assorties, de quoi rendre un caméleon totalement déprécié. Effectivement, merci beaucoup.

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