Retraites : Laurent Berger renouvelle sa proposition de "mettre en pause" le texte

Retraites : Laurent Berger renouvelle sa proposition de "mettre en pause" le texte



Nous ferons de faire la porte-modèle, pas de midi-assurance, ça va me donner d'assurance pour se parler de ce que vous avez fait. Si on n'a pas besoin, pourquoi on ne s'est pas parlé depuis le déjeuner ? Pourquoi la Renata syndicale n'a pas été reçue lorsqu'elle a demandé d'être reçue par le plé dans la République ? C'est bien qu'aujourd'hui on ne s'en sent pas cas. Donc bien sûr, il y a des appels téléphoniques des uns et des autres qui nous ont opéré. On n'a pas eu une seule discussion sérieuse sur ce qu'on est en train de se placer dans le pays depuis le 19 janvier. On est dans des mobilisations qui sont exceptionnelles. Encore aujourd'hui, malgré la dernière qui était il y a seulement quelques jours, on nous dit qu'on n'a pas besoin de ça de se parler, on n'a pas besoin d'un dévégation. C'est une proposition qui va l'interse syndicale.

Elle est formulée depuis à peine 3 heures et il y a déjà un refus. Donc c'est bien qu'on a besoin de se parler, mais on n'arrive pas à se parler. Bien sûr, au RéliQ, on va même continuer à formuler cette proposition par écrit avec la Terre syndicale, ici, la fin de la semaine, pour dire qu'on va être sur pause cette réforme des retraites. Il faut la suspendre, on appelle ça « comme au reux ». Moi je suis pas un pro de la rétorique et on se propose, c'est la proposition qu'il y en a d'autre aujourd'hui, de demander à des médiateurs ou à avoir de la Terre médiation, on appelle ça « comme au reux » pour que chacun puisse faire état de ce qu'ils proposent sur la question du travail des retraites et ensuite de se mettre autour de la table dans un mois, demi, deux mois, quand la poussière sera un peu retombée, je crois qu'on a besoin et pour trouver un espace incompréhensible. Et à des pros de quoi, on nous garde bien. Mais moi je fais toujours, je crois davantage à l'intelligence collective qu'à la verticalité.

C'est un vrai sujet pour nombre de manifestants. Nous on a un système pour des adhérents de la classe de grève, on a aussi les classes de grève professionnelles, ça va s'exprimer dans les établissements. On vous le voit bien, la réplication reste très forte. Les salariés sont très proches, on a des établissements de la classe de grève, on a des établissements de la classe de grève, on a des établissements de la classe de grève, on reste très fort, les salariés font des choix dans le monde d'automotel jour. Mais on continuera, de toute façon, on est en train de la ruine, qu'elle dit que le processus démocratique, c'était juste le processus constitutionnel. Nous, on va citer la classe de démocratique, dans le cas où on a la responsabilité, jusqu'au moins j'espère. C'est pas bon, la violence, c'est pas bon de la voir, la part de bienhold personnaliste acceptable de la vie démocratique, la CFT n'a aucune ambitie sur le sujet, l'électualité.

Je crois que ça provoque des fois des réactions disproportionnées aux quelques-uns, ça peut l'isre, c'est aussi un problème. Mais c'est aussi la violence un problème, parce que ça masque le monde de la classe. Ça masque l'immense, c'est-à-dire les citoyens, les travailleurs, qui manifestent, on les dit de noyel, petit, grande, mais où il n'y a pas de connexion. Mais d'autre part, ne pas, c'est-à-dire. Et donc, voilà, je vous le redoute, la violence, nous avons une bonne forme d'expression, mais je vous invite, autant que possible, évidemment, de pas guiller ces violences, elles existent, j'ai condamné pour une fois, mais elles ne pas masquer le mouvement social, derrière, c'est fait de violence, et c'est le gros état des combattants de la France. Oui, je crois que ça peut encourager certains, comme par son point, malheureusement, mais encore une fois, les contextes charnéco, on va, dans le temps, un cortège, sont pacifiques et respectés. Les noms, on verra plus tard.

Il y a plein de gens qui connaissent bien les sujets, qui sont prêts, qui pourraient être prêts à rentrer dans cette logique-là. Je crois qu'il faut vraiment regarder cette piece sérieusement. Donc, allez, on va mettre la réaction de Severent sur une réaction sortie des conseils de ministre. Peut-être qu'on peut revenir à la raison et rentrer enfin dans une vraie logique de discussion. Et, Robert, vous dites que c'est. Vous savez, on connaît ça très bien dans les entreprises, quand il y a un compil social, il y a une grosse professionnelle, quand on n'arrive plus à se parler, quand il y a le dialogue, il y a un peu à l'arrêt, et bien, on peut en sorte d'avoir des gens qui sont en forme d'énéclatité pour voir, d'abord, en confrontant chaque une des parties, pour voir un peu, c'est quoi les points de fécition, des points de proposition, et de regarder ensuite comment on organise le dialogue pour les semaines et les mois à venir, pour retrouver enfin le dialogue sur nos travail, sur les retraites, et une écoute des années de temps. Cette pédiation, c'est aussi parce que nous pensons que la décision du Conseil constitutionnel va arriver trop tardivement par rapport à la situation sociale.

Moi, je vois bien que la situation, pour certains, il faudra attendre le Conseil constitutionnel. C'est donc potentiellement 15 jours ou 3 semaines. On va vivre avec cette consoula pendant 15 jours ou 3 semaines. Enfin, si ça, c'est pas de la part de l'intersanical, un acte de responsabilité, de promener cette pédiation, c'est quoi ? C'est un acte de responsabilité dans un climat tendu. Donc, il faut le prendre comme tel. A minima, ça s'étudie. Et ça se fallait pas d'un revers de main comme ça a été fait ce matin.



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