Philippe Martinez : "Si le gouvernement maintient ses positions, le climat va se tendre"

Philippe Martinez : "Si le gouvernement maintient ses positions, le climat va se tendre"



Puisqu'on dit avec les gens, on contrique une nation très très très énergée, face à un gouvernement qui ne coupe pas les manifestations et les soudages du public. Et oui, effectivement, ici, il n'y aura pas de radicalité. Si le gouvernement n'entend pas tout ce qui se passe dans le pays, il n'y aura plus de banalité sur le pays, il n'y aura pas d'invitation carréerse, les grèves, les forts et les fréquentes. Vous pensez que la rue peut encore faire refaire du gouvernement? Si je ne le pensais pas, je serais pas dans la rue. Donc là, vous êtes clairement en PFC, peut-être après les vacances, peut-être en mars? Et bien, premièrement, on ne le mise pas dans les vacances, avec lesquels on peut aller s'entraîner les situations, mais tout le monde ne part pas en vacances. Malheureusement, puisqu'ils n'ont pas les moyens, ils ont donc le droit de maintenir cet état d'esprit, de maintenir ce niveau de mobilisation en prenant en compte la réalité de l'époque et de la période. Mais la mobilisation est forte aujourd'hui, mais c'est un samedi, on est d'être dans la détermination.

Je collègue avec les députés, les morts, les sous-morts, les chambours, et à part de la règle, les neufs, les neufs, les neufs. C'est parce qu'il y a l'affiché, et de l'aider dans l'éducation, en ce moment, c'est les vacances pour les jeunises qui ont eu l'ensemble du monde. En ce temps, on va gérer cette semaine, et puis on verra comment la mort se naitrait différente. En tout cas, on n'attendra pas le début mars pour continuer à se mobiliser. Vous voyez que la mobilisation a baissé à l'aise-en-deer, on fait que c'est le fait de venir les vacances? J'attends d'avoir les chiffres de les caméras de l'SRCF, et puis vous direz ça, les faits vacances y comptent, quand les gens sont pas au boulot, il faut pas grave. C'est pas réelogique. Et puis, à moins, plus qu'aux idées reçues, à l'SRCF, ils ne sont pas que pays-exclésons.

Donc, du jour des graves, ça pèse aussi sur l'importance de l'EIC. Est-ce que vous gérez le fait que l'on soit rentrés dans le dur de l'examen à l'article national en séance, avec son visage sur la rue, comme est-ce que vous gère le fait que ça se joue sur deux canaux différents de communication? Comme vous le dites, ça se joue sur deux canaux. Nous, notre canade, c'est ici. Donc, c'est continuer à dire au salarié, au retraité, au jeune, la mobilisation est importante. Et la mobilisation, on le voit très bien. Elle presse sur les débats, qui sont pris sur ce que pourrait faire certains députés de la majorité gouvernementale ou des députés droites. On se pose aussi des questions.

Et quand ils rentrent dans leur circonscription, pour ceux qui rentrent, ils ont aussi des interpellations de parfois des lecteurs qui ont voté prôdre. Ça ne passe aussi, parce que le gouvernement a été de. Il est assez. Il est assez. Le gouvernement. Elle a annoncé sa réforme du 10 janvier. C'était une réforme de justice.

C'est ça, c'est ça. Mais c'est pas les uns. Le discours, maintenant, c'est un film simple, parce qu'il y a des excès en principe de députés, de députés qui ont fait 300 milliards de déficits. C'est pas où la LUSA, c'est pour les députés. En tout cas, c'est pas dans la banque du corps. Oui, la mobilisation, elle presse. Il faut prier sur les députés de la majorité, de droite, parce que.

Je vous l'ai dit, je pense que c'est une réalité d'admocratie. Quand on est élu, on n'a pas un blanc sein, parce que c'est un grand confersc pour eux. Est-ce qu'un mouvement qui serait plus fort avec des blocages qui se sentiraient davantage chez les Français, c'est pas quelque chose qui serait une envie, une envie que je vous pourriez envisager? Est-ce que vous êtes pas trop gentils, les syndicats? C'est bien la première fois qu'on me dit ça, mais il faut remercier de me dire ça. Enfin, quelqu'un qui reconnaît que les syndicats, les classes et les étés sont gentils. Non, sérieusement, les mouvements sociaux, ça se fait pas sans les salariés. Les syndicats discutent avec vos adhérents, et après, on fait des propositions salariées. Je ne vous inquiétais pas si le gouvernement maintient ses positions le plus mal à ce temps.

Les grèves vont nous nourrir. C'est génial, c'est génial. C'est le message que vous lui adressez, il y a un risque? Oui, mais j'espère qu'il est conscient de la résilience à vie qui porte. Avec un message à la sortie des urnes, des présidentielles, j'ai dit que j'ai changé, je vais écouter avec les épisodes qu'on a pu connaître de mouvements sociaux, sur les Gilets jaunes, la grève de 2019-2020. Soit il a changé, il écoute, soit il en fait une affaire nationale avec les risques que ça peut comporter dans la rue, mais aussi dans les urnes. Et aussi dans les urnes. Ça me paraît évident.

Ça me paraît évident. Ça me paraît évident que il a considéré que il veut prouver, je ne sais pas qui d'ailleurs, que lui, il tient la rue sur la vie, il veut accréditer l'idée que plus quand il fait quelque chose, il va juste se retrouver. Mais il faut que l'on mesure les risques de telle position, et je vous le répète, il ne faut pas entrer dans les urnes, jouer avec le feu, notamment vis-à-vis du rassemblement national. Vous voulez appeler à revenir à la raison de l'enfant? Moi, j'appelle les élus du peuple à faire en sorte qu'ils écoutent les citoyens de ce pays. Quand on est représentant les citoyens, représentant de la nation, on a des comptes à rendre. Ils ne peuvent pas dire, j'ai été élu maintenant, je fais ce que je veux en sein. Merci à vous.



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