Kylian Mbappé est-il le capitaine idéal pour les Bleus ?

Kylian Mbappé est-il le capitaine idéal pour les Bleus ?



Le style du nouveau Capitaine, petit tour d'horizon. La réponse à peu près en 5 minutes, c'est le montage assuré par Charlie Courant. On y va. Bon Capitaine, c'est quelqu'un qui a avant tout tourné vers l'équipe, quelqu'un qui est capable d'être rassembleur, fédérateur et qui est capable d'emmener les autres dans son sillage. Je pense que je vais être un Capitaine qui va tourner vers les autres. Il n'y a pas une grande expérience dans le Capitana, on a des jours importants dans l'équipe. J'ai envie de décider, d'imposer.

La meilleure des façons, c'est de penser au collectif, d'amener les autres dans son sillage, de tourner vers le même objectif. Chacun est libre de s'exprimer dans ce groupe, c'est ça l'équipe de France, elle appartient à personne. Ca va changer ma manière de me comporter, il faut être encore plus tourné vers les autres. Les joueurs qui ont toujours joué avec moi savent que ma première obsession, c'est de gagner. Je ne gagne pas tout seul, je gagne avec l'équipe. Je ne pense pas que je vais venir ici tous les matchs pour venir vous parler, parce que je sais que la résonance que ça va avoir, et je pense que c'est important que chacun, l'ensemble des joueurs de l'équipe de France, ait une place importante dans cette équipe. – Bon, Bertrand, il vous a impressionné par sa décontraction, et vous avez retenu, vous, un passage, vous l'attendez.

Le passage avec Antoine Griezmann. – Et ben, on l'écoute ? – Avec vos volontiers. – On y va, après vos commentaires. – Bien sûr. – C'est normal qu'il ait cette déception, et ce que je veux dire, c'est que lorsque moi, je suis capitaine et lui, je suis capitaine, il est très rare, il a une expérience, une équipe de France que je n'ai pas. Il est arrivé en équipe de France avant moi, j'étais au centre de formation, il était déjà là. C'est quelqu'un qui est estimé et aimé de tout le groupe.

Donc, ce serait vraiment dommage qu'on puisse pas bénéficier de son expérience de sa joie de vivre aussi, parce que c'est quelqu'un de joyeux. Et bien sûr qu'on va être lui et moi main dans la main pour essayer de faire régner cette équipe de France au niveau européen et au niveau mondial. Donc, il n'y aura pas de moi devant, lui, derrière. Il sera côte à côte s'il a quelque chose à dire devant le groupe. Même moi, je m'assois et j'écoute. Voilà, c'est comme ça. Vous vous rendez cette réponse ? Est-ce que vous avez été satisfait ? C'est même au-delà de nos espérances, presque.

Non, mais honnêtement, il était attendu là-dessus. On sait que la relation est fluctuante depuis qu'il est. Depuis qu'il est apparu dans le paysage France ? Voilà, exactement. Je sais pas dans quelle mesure on peut. savoir si il est sincère complètement ou pas. En tout cas, les premiers signaux qui sont envoyés sont plutôt positifs. Je les dis, on prend un parti, et ce sur quoi après, il sera jugé, c'est les résultats.

Comment il valorise ses partenaires, comment il gère les tempêtes, notamment au niveau des médias. Voilà, c'est à l'épreuve du temps qu'on le verra, parce que sa capacité à bien s'exprimer et à dire ce qu'il faut dire, on sait qu'il en est capable. Il l'a fait parfaitement. Maintenant, il faudra voir quand ce sera un petit peu plus difficile. Mais bon, même là, sous Lyon quand même, qui a 24 ans, c'est pas un exercice qui est facile, franchement. Il y en a peu qui sont sortis de cette manière-là. Il est assez brillant.

Il l'a fait en appuyant, parce que c'est vrai que les deux. pas les cueils, mais les deux points d'interrogation étaient sur, effectivement, la relation avec Griezmann, qui est un peu le grand-père d'en-deux de cette décision. Et, effectivement, le rôle un petit peu égocentré, le comportement qu'on lui voit plutôt avoir, et qu'il doit avoir un peu moins en tant qu'apitaine. Et là, il a martelé un petit peu, comme les arguments massus, là, et tourné vers les autres, tant de la main, etc. C'était peut-être de l'optopertuation. Je ne sais pas, c'était de l'optopertuation, mais en tout cas, c'était l'idée de nous convaincre qu'à la dessus, il a plutôt réussi. Vous m'avez passé la main, on va réécouter la double question de notre confrère du journal Leky.

Hugo Delon. Vous avez une personnalité singulière qui tournait plutôt vers vous-même. Comment on se transforme pour être un capitaine fédérateur? C'est ma première question. Et la deuxième question, est-ce que ça va vous obliger de me faire parler? Je pense que je ne vais pas me transformer, déjà, pour la première des choses, mais je pense que j'ai une parole qui est quand même écoutée dans le vestiaire. Il suffit juste de la prendre à bon escient et de savoir utiliser cette parole de la meilleure des façons. Et après plus défendre, c'est une question d'organisation. C'est en fonction de ce que me demande l'entraîneur.

Je ferai toujours ce que me demande l'entraîneur. Il me demande d'aller au but, je vais au but. Il me demande de sortir, je sors, je défends, je défends. Moi, je sais que ça a un jeu du, parce qu'au mondial, il y a des champs qui lui demandaient surtout pas de défendre. Il avait. Il lui demandait de se replacer, à minima, de faire les quelques mètres nécessaires. Au lendemain, ça n'a pas toujours été fait.

D'ailleurs, je vous ai souvenu d'une discussion avec Antoine Caseman sur Adé-Match, où il avait bien marqué qu'il y avait quelques boulevardes sur le côté gauche. Et immédiatement après. Bapé, c'était exécuté? Il était à sa gauche et lui avait pris la pointe de l'attaque française. On le sait bien. Mais ça, c'est comme tout le monde. Il ne fait pas toujours ce qu'on lui demande de faire. Ce qu'on lui demande, c'est souvent de marquer des buts.

Il le fait très souvent. Pour ce qui est du reste, il y a peut-être encore ma tire à progresser. Charlie Courant, message de Charlie Courant. Charlie Courant a regardé une nouvelle fois la conf. Charlie Courant, vous ne le connaissez pas. C'est notre assistant. On l'appelle le chirurgien de l'image.

Il parle du capitale à Bapé. Il parle d'être tourné vers les autres. Vous allez voir, il va le dire. Ce truc-là, c'est pas un genre. C'est comme une épreuve. Je ne sais pas si ça fait à là-dessus. Mais on a repéré ça.

C'est une question de vous avoir de mon ferrondes. Regardez. Ça ne va pas changer ma manière de jouer. Ça va changer ma manière de me comporter. Il faut être encore plus tourné vers les autres. Je vais affronter cette épreuve avec beaucoup de bienveillance et de positivité. C'est une épreuve.

C'est vrai. Ça ne coule pas de source pour lui. Comme quand on le pointe un peu, il a beau s'en défendre dans un premier temps. C'est vous qui voyez ça. Moi, je veux gagner. Même lui reconnaît dans cette réponse que être tourné vers les autres. Exactement.

Quelque part, c'est normal pour un attaquant. C'est le poste qui veut ça. C'est un buteur. Peut-être qu'un défenseur aura moins cet état d'esprit. C'est un attaquant. Il ne sera plus collectif qu'un attaquant qu'un brassard. Les attaquants capitaines, c'est plus rare que les milieux ou les défenseurs.

C'est un état d'esprit altruiste dans le football. Il y a une notion de. Il pousse le curseur plus loin. Il est dans la réussite. Il a un projet depuis qu'il est gamin. C'est un attaquant. Le sens de l'effort que tu dois avoir, c'est un capitaine.

Tu ne peux pas rester bras croisé. Il y a une grande avion au mondial. Quelqu'un qui passe à 3 mètres et ne pas bouger. Il dit tourner vers les autres aussi. C'est un terme que je n'ai pas trop entendu en conférence de presse quand quelqu'un prenait le brassard. Il ne l'était pas forcément jusqu'à présent. Qu'est-ce qu'il dit ? D.

De Gore, je compte sur vous. Il y a deux jours, on nous a senti un petit papier sur Antoine Griezmann. Les mots sont importants. Il s'interrogeait à l'idée de donner la suite à sa carrière internationale après ce rassemblement. Depuis qu'il y a un, il lui a parlé, est-ce que finalement. Ca y est, il est décidé, il reste. Je ne sais pas, ça va mieux, c'est pas.

Quel retour vous avez sur. Je n'ai pas eu de retour. Les retours, c'est ce que Didier Deschan a dit. Visiblement, il a l'air. Si on compte sur Didier, il a l'air. Je ne sais pas s'il l'est. Il n'aurait jamais, presque.

Ce qu'on me dit, c'est qu'il va voir comment se passe, comment se déroule ce rassemblement. Il se termine lundi soir à Dublain. Je pense que tout le monde voit Griezmann aujourd'hui comme le. Le gentil garçon, joueur collectif qui va digérer comme il a toujours digéré lorsqu'il y a eu des. Des concessions, enfin ? Oui, un peu plus que des concessions, même parfois. Et puis qui va passer outre et qui mettra le collectif au-dessus de tout. C'est possible, mais c'est aussi possible que pour une fois, à 32 ans, il se pose vraiment des questions.

Et peut-être que entre l'image qui renvoie en interne aujourd'hui à Claire Fontaine et l'image. Est-ce que lui peut dire à ses potes, à son entourage, il y a une petite différence ? D'accord. Bon, à la suite. On saura assez vite.



Sport, actualités, actualités sport, L’équipe, La chaîne l’équipe, l ‘équipe en direct, l’équipe du soir, l’équipe de greg, journal l’équipe

Enregistrer un commentaire

Plus récente Plus ancienne